L’ambre, le seigle mûr, le miel pl… Dont le gâteau ressemble aux grott… Comparés aux cheveux dont mon amie… N’offrent pas un éclat égal. Que mon amie heureuse auprès de mo…

Devant le ciel de nacre et d’or d’… Nous accoudons, pensifs, après la… Notre langueur d’amants heureux à… Bientôt, comme un joyau candide, v… A l’occident la belle étoile de l’…

J’ai croisé sur la route où je vai… La Mort qui cheminait avec la Vol… L’une pour arme ayant sa faux inas… L’autre, sa nudité. Voyageur qui se traîne, ivre de la…

La maison serait blanche et le jar… De bruits d’eaux vives et d’oiseau… Et le lierre du mur qui regarde l’… Broderait d’ombres les rideaux Du lit tiède où, mêlés comme deux…

Encore un peu ta bouche en pleurs,… Tes mains contre mon cœur et ta vo… Demeure ainsi longtemps, délicieus… Auprès de moi, ma pauvre enfant, c… Les formes du jardin se fondent da…

Soirs de stérilité qui font l’âme… Qu’une route où le vent de décembr… Soirs où sous la douleur âcre le c… Fait le cri d’une terre aride sous… On se sent seul, on se sent las, o…

Je vais mourir, je vais bientôt mo… La croisée et que j’aie un rayon d… Sur mon lit et la ronde endormeuse… Que tout le jour sourie à mon dern… Qu’on me couvre de fleurs, que l’a…

La voix du soir est sainte et fort… Lourde de songe et de parfums, Et son flot d’ombre me rapporte La cendre des espoirs défunts. J’ai dit à l’amour qu’il s’en aill…

Le jour blanc se levait à peine su… Des gouttes d’eau tintaient à mon… Je m’accoudai, tremblant de fièvre… De l’océan obscur et rauque et de… Sépulcre cimenté de plomb blême et…

La chanson de la Bien-Aimée, Comme un trille d’oiseau siffleur, Monte dans la nuit parfumée. L’entendez-vous sous la ramée, A travers les pommiers en fleur,

J’étais couché dans l’ombre au seu… Un talus du chemin désert me sépar… J’écoutais s’écouler près de moi,… Une source qui sort d’une voûte d’… Par ce beau jour de juin brûlant e…

Sois pure comme la rosée, Comme le ciel que tu reflètes ; Sois légère aux herbes brisées, Ame tremblante du poète. Colore-toi du sang de l’aube,

Ah ! le navrant sourire où monte u… Et nos cœurs douloureux et lourds… Détourne ton visage et laisse-moi.… Le pauvre enfant blotti sur ton se… Dérobe-moi tes yeux : les suprêmes…

Comme un roseau plaintif au bord d… Tu gémissais : « Ô le méchant seig… Pourquoi m’a-t-il trahie et se peu… Tué, lui qui m’aimait, Polonius m… Adieu donc, tendres jours de joie…

Ah ! Seigneur, Dieu des cœurs rob… Quel est ce temps de doute où l’ho… Ses croyances, l’amour et le rêve… Il est tard ; que faut-il aimer, q… Vacillants et plaintifs comme un p…