#XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais #LesFleursDuMal
Un soir, l’âme du vin chantait dan… « Homme, vers toi je pousse, ô che… Sous ma prison de verre et mes cir… Un chant plein de lumière et de fr… Je sais combien il faut, sur la co…
Je te donne ces vers afin que si m… Aborde heureusement aux époques lo… Et fait rêver un soir les cervelle… Vaisseau favorisé par un grand aqu… Ta mémoire, pareille aux fables in…
Ce spectre singulier n’a pour tout… Grotesquement campé sur son front… Qu’un diadème affreux sentant le c… Sans éperons, sans fouet, il essou… Fantôme comme lui, rosse apocalypt…
De ce terrible paysage, Tel que jamais mortel n’en vit, Ce matin encore l’image, Vague et lointaine, me ravit. Le sommeil est plein de miracles !
La pendule, sonnant minuit, Ironiquement nous engage À nous rappeler quel usage Nous fîmes du jour qui s’enfuit : —Aujourd’hui, date fatidique,
Que m’importe que tu sois sage ? Sois belle ! Et sois triste ! Les… Ajoutent un charme au visage, Comme le fleuve au paysage ; L’orage rajeunit les fleurs.
Vous êtes un beau ciel d’automne,… Mais la tristesse en moi monte com… Et laisse, en refluant, sur ma lèv… Le souvenir cuisant de son limon a… —Ta main se glisse en vain sur mon…
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
Fourmillante cité, cité pleine de… Où le spectre en plein jour raccro… Les mystères partout coulent comme… Dans les canaux étroits du colosse… Un matin, cependant que dans la tr…
Ô fins d’automne, hivers, printemp… Endormeuses saisons ! je vous aime… D’envelopper ainsi mon coeur et mo… D’un linceul vaporeux et d’un vagu… Dans cette grande plaine où l’auta…
L’homme a, pour payer sa rançon, Deux champs au tuf profond et rich… Qu’il faut qu’il remue et défriche Avec le fer de la raison ; Pour obtenir la moindre rose,
Bientôt nous plongerons dans les f… Adieu, vive clarté de nos étés tro… J’entends déjà tomber avec des cho… Le bois retentissant sur le pavé d… Tout l’hiver va rentrer dans mon ê…
Il me dit qu’il était très riche, Mais qu’il craignait le choléra ; —Que de son or il était chiche, Mais qu’il goûtait fort l’Opéra ; —Qu’il raffolait de la nature,
Mon enfant, ma soeur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,