Fables, Livre V (1812)
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Verts bosquets, paisible asile, Où tout sourit à mon cœur ; D’innocence et de candeur Séjour aimable et tranquille ; En vain je veux retracer
Sans craindre qu’un rival contre m… Je suis le souverain de tout ce qu… De l’une à l’autre rive, et les ai… Sont peuplés des sujets de mon pai… Toi que du sage a trop vanté l’amo…
Fable XV, Livre I. Pauvre Turc ! qu’il est bon ! le… S’écriait un enfant en promenant s… Sur un dogue enchaîné qui, dit-on,… Impunément le laissait faire.
Fable V, Livre III. Tous les jours on voit des marmots… Avec un peu de vent gonfler un peu… Tous les jours, avec de grands mot… Pour l’heureux du moment maint sot…
Fable XIV, Livre I. Vive la liberté ! criait, dans la… L’unique fois, hélas ! qu’il se so… Martin, qui se croyait vraiment en… Pour n’être pas à l’écurie.
(Qu… Ce feu, quels torts a-t-il donc fa… À votre Laure, qui se fâche ? Plein de respect pour ses attraits… Il n’en veut qu’à ce qui les cache…
Fable XV, Livre V. « Je préfère un bon cœur à tout l’… Et d’amis à deux pieds je me passe… Disait certain monsieur qui vit av… Dans une retraite profonde.
Fable V, Livre V. On ne supporte qu’à moitié Le poids des misères humaines, Quand le ciel accorde à nos peines Les tendres soins de l’amitié.
Fable XVI, Livre IV. « Demande-t-on la bouche pleine ?… Disait ma femme à son marmot : « Fi ! qu’il est laid ! fi ! qu’il… Il n’aura plus rien pour sa peine.…
Fable II, Livre III. Médor est un vrai chien de race, Des mieux nés et des mieux appris… Il n’a pas d’égal, soit qu’il chas… Lièvre ou lapin, caille ou perdrix…
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
Fable X, Livre I. L’éponge boit, c’est son métier ; Mais elle est aussi souvent pleine De l’eau fangeuse du bourbier, Que de celle de la fontaine.
Supposant dans un seul objet Tout ce que j’exigeais pour plaire… J’adorais un être parfait, Et le croyais imaginaire. L’Amour, quand il m’offrit tes tr…
En vérité, je suis jaloux De ces vers où l’amour respire : Le peindre aussi bien qu’on l’insp… Cela ne fut donné qu’à vous. Moi qui voudrais savoir vous plair…
Fable XV, Livre IV. Le voisinage d’un clocher Est un assez sot voisinage. Soit dit sans le leur reprocher, Les cloches ont certain langage