L’âme perdue
Mon âme, pourquoi ce silence et ces soupirs ?
Rien n’est comme avant sans ta joie, plus un rire...
Pas même un sourire vers ce triste ciel ;
Tes humeurs se dégradent et s’entremellent.
Tu parrais contrariée, tu ne parles plus.
En secret tu pleures et ta joie semble rompue.
Tu te perd dans tes pensées si nombreuses,
Tes émotions qui te sont si douloureuses...
Depuis trop longtemps tu cesses de parler,
Tu caches ta face si couverte de plaies,
Tu restes dans l’ombre au lieu d’éclaircir ta vie,
Regarde le monde qui t’entoure et souris !
Quelles que soient tes préocupations,
Sache que tu auras toujours mon affection...
23.10.2007