Quand le souffle divin qui flotte… S’arrête sur mon âme ouverte au mo… Et la fait tout à coup frissonner… Où le cygne s’abat dans un cercle… Quand mon regard se plonge au rayo…

C’était l’heure chantante où, plus… Le jour en expirant semble sourire… Et laisse le zéphyr dormant sous l… En descendre avec l’ombre et flott… La cloche dans la tour, lentement…

Jéhova de la terre a consacré les… Elles sont de ses pas le divin mar… C’est là qu’environné de ses foudr… Il vole, il descend, il s’assied. Sina, l’Olympe même, en conserven…

Vous avez pris pitié de sa longue… Vous me rendez le jour, Dieu que… Déjà mon front couvert d’une molle… Des teintes de la vie à ses yeux s… Déjà dans tout mon être une douce…

Naître avec le printemps, mourir a… Sur l’aile du zéphyr nager dans un… Balancé sur le sein des fleurs à p… S’enivrer de parfums, de lumière e… Secouant, jeune encor, la poudre d…

La nuit, quand par hasard je m’éve… Que dehors et dedans tout est calm… Et qu’oubliant Laurence, auprès d… Mon cœur mal éveillé se croit seul… Si j’entends tout à coup son souff…

(Au Marquis de Lamaisonfort) Oh ! qui m’emportera vers les tièd… Où l’Arno couronné de ses pâles o… Aux murs des Médicis en sa course… Réfléchit le palais par un sage ha…

Lorsque vient le soir de la vie, Le printemps attriste le cœur : De sa corbeille épanouie Il s’exhale un parfum moqueur. De toutes ces fleurs qu’il étale,

L’aurore se levait, la mer battait… Ainsi parla Sapho debout sur le r… Et près d’elle, à genoux, les fill… Se penchaient sur l’abîme et conte… Fatal rocher, profond abîme !

Un baiser sur mon front ! un baise… Mais de mon front pensif le frais… Mais de mes jours taris l’été n’a… Mais l’Aurore jamais n’embrassera… Elle rêvait sans doute aussi que s…

Le roi brillant du jour, se coucha… Descend avec lenteur de son char d… Le nuage éclatant qui le cache à n… Conserve en sillons d’or sa trace… Et d’un reflet de pourpre inonde l…

Je ne sens plus le poids du temps… D’une aile égale et douce en s’éco… Je voudrais chaque soir que le jou… Fût encore au matin à peine commen… Ou plutôt que le jour naisse ou me…

Non, sous quelque drapeau que le b… La muse sert sa gloire et non ses… Non, je n’ai pas coupé les ailes d… Pour l’atteler hurlant au char des… Non, je n’ai point couvert du masq…

La coupe de mes jours s’est brisée… Ma vie hors de mon sein s’enfuit à… Ni baisers ni soupirs ne peuvent l… Et l’aile de la mort, sur l’airain… En sons entrecoupés frappe ma dern…

(À un poète exilé) Généreux favoris des filles de mém… Deux sentiers différents devant vo… L’un conduit au bonheur, l’autre m… Mortels, il faut choisir.