Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Avec tout votre esprit, la belle i… Avec tous vos grands airs de rigue… Qui nous font tant de mal et qui v… Il n’en est pas moins vrai que vou… Il n’en est pas moins vrai que, sa…
Prince, les assassins consacrent t… Ils forcent Dieu lui-même à nous… Par droit d’élection tu régnais su… La balle et le poignard te font un… De ceux dont le hasard couronna la…
Voltaire, ombre auguste et suprême… Roi des madrigaux à la crème Des vermillons et des paniers Assis au pied de ta statue, Je me disais : « Qu’est devenue
Le poète Le mal dont j’ai souffert s’est en… Je n’en puis comparer le lointain… Qu’à ces brouillards légers que l’… Et qu’avec la rosée on voit s’évan…
Dans mes jours de malheur, Alfred… Tu m’es resté fidèle où tant d’aut… Le bonheur m’a prêté plus d’un lie… Mais c’est l’adversité qui m’a fai… C’est ainsi que les fleurs sur les…
Sonnet. Ainsi, mon cher ami, vous allez do… Adieu ; laissez les sots blâmer vo… Quel que soit le chemin, quel que… Le seul guide en ce monde est la m…
Sonnet. Qu’il est doux d’être au monde, et… Tu le disais ce soir par un beau j… Tu le disais, ami, dans un site en… Sur le plus vert coteau de ta forê…
Que j’aime à voir, dans la vallée Désolée, Se lever comme un mausolée Les quatre ailes d’un noir moutier… Que j’aime à voir, près de l’austè…
Porte ta vie ailleurs, ô toi qui f… Verse ailleurs ce trésor que j’ava… Va chercher d’autres lieux, toi qu… Va fleurir, ô soleil, ô ma belle c… Fais riche un autre amour et souvi…
Dans DIX ans d’ici seulement, Vous serez un peu moins cruelle. C’est long, à parler franchement. L’amour viendra probablement Donner à l’horloge un coup d’aile.
J’étais seul, l’autre soir, au Th… Ou presque seul ; l’auteur n’avait… Ce n’était que Molière, et nous s… Que ce grand maladroit, qui fit un… Ignora le bel art de chatouiller l…
(En réponse à la question : Qu’es… Chasser tout souvenir et fixer sa… Sur un bel axe d’or la tenir balan… Incertaine, inquiète, immobile pou… Peut-être éterniser le rêve d’un i…
Rondeau. Dans son assiette arrondi mollemen… Un pâté chaud, d’un aspect délecta… D’un peu trop loin m’attirait douc… J’allais à lui. Votre instinct ch…
Il faudra bien t’y faire à cette s… Pauvre coeur insensé, tout prêt à… Qui sait si mal aimer et sait si b… Il faudra bien t’y faire ; et sois… La veille et le travail ne pourron…
Sonnet. Je vous ai vue enfant, maintenant… Fraîche comme une rose et le cœur… Je vous ai vu bambin, boudeur et p… Vous aimiez lord Byron, les grand…