Synopsis : hymne à ces bouquets fl… Genre : bucolique en vers décasyll… S’ils ne m’obligeaient pas à coupe… à faire des bouquets je passerais… je t’en apporterais, cascades de f…

Entrez ! Entrez je vous en prie, ce n’est qu’un poème, vous savez i… Et ce vieillard là-bas, avachit da… Peut-être une perdrix

Voici mon premier poème chantable ce que je préfère à chansons. Perso, elles sont comme les romans, je ne les aime pas tellement, donc, je ne cherche pas réellement à faire mettre celui...

Que n’aurais-je donné pour un bouq… et ces feuilles tombées au prix de… gonflées jusqu’à tes lèvres de pru… ma bouche carnassière aux baisers… Que n’aurais-je donné pour un chag…

Synopsis : poème militant homosexu… “ Dure réalité de l’emprisonnement… Tragi-comédie du cassage d’homo d’… Poème mis en ligne sur Poésies qu… Mes jours bringuebalants à l’orniè…

Je ne sais pas si je préférais la braise de ses tempes ou les flammes de sa tignasse qui brûlaient tout en montant en haut de sa tête de Méduse masculine purement enchantée. Les chenets...

L’on ne peut point tomber… que tombe, gisant ici-bas sous la pierre femme ou… gît la vie que la mort… Écrit et lu par le poète gay Alain…

Synopsis : poème sur la mort, le t… Sous tes paupières, les perles d'u… Sourdent et glissent d'un des plus… Puis disparaissent, aux sables de… A quoi bon pleurer sur ce qui n'es…

Poème homo-érotique écrit et lu par Alain Cabello-Mosnier « Ici il s’agit d’un poème extrêmement inquiétant mais élégant sur l’homosexualité, la sodomie qui s’astreint à décrire le corp...

Me voici désormais dans ce cadre o… Oublié de tous, hors duquel je viv… Puis moins qu’un tibia de Neander… Cent ans après plus personne me co… Squelette au chandelier de bougies…

Type : Vers ennéasyllabes "9 pied… Il me fit un bisou dans le cou Qu’il prétendait tomber de ma poch… Un de ces baisés distraits et doux Dont la fin selon lui était proche

Mon amour est un gouffre dans un e… Je t’aime plus que tout et n’y veu… n’espère ni ta langue à l’absolu d… ni le moindre répit où mon cœur se… dans le vent des rouleaux aux meur…

Sous le pont de tes yeux, j’imaginais couler les affluents de ton sommeil, bien à l’ombre d’une allée de grands frênes aux cils blonds. Tu respirais avec la douceur d’un vent d’été,...