Faut savoir interroger leur double quitte à ne voir l’heure qu’à leur… qui n’est pas sans rapport avec la… faut apprécier leur sans-gêne l’ivresse étant qu’ils s’installen…

Le temps que le sénateur s’aperçut que la torna… assise dans son assiette et la tornade ét… Kansas-City

J’ai embaumé ma tête coupée dans u… Regarde je suis si lisse qu’on cro… certes j’ai échappé aux chiens, es… interdits qui tout bas rient Astrologues

A Séville le front percé d’un œillet… au pôle le soleil purulent du noir dans le fjord l’étranglement d’un… dans ma gorge le refus de passer d…

cré nom de Dieu ils ont assuré l’univers et t… statues des jardins les amours per… qui n’ait arrêté ses nuages à jama… Fixe c’est d’ailleurs le commandem…

nous savoir dans la pluie dans les cendres dan… nous savoir qui rêvâmes sans chiff… rué par monts et vaux nous savoir ce cœur lourd

Penser est trop bruyant a trop de mains pousse trop de han… Du reste je ne me suis jamais trom… les hommes ne m’ont jamais déçu il… les débordent

Cercle après cercle quand les déserts nous auront un à… miroirs vainement les nuits ayant sur la t… leur cou de chameau fatigué

le verra-t-on enfin endosser sa pr… longue la longue moustache longue… l’eau se trempant de feuilles vert…

L’hibiscus qui n’est pas autre cho… le grand sabre noir des flamboyant… qu’outrepercés d’une épingle que l… Orion l’extatique papillon que les… fières dont le cou tremble un peu…

Poings carnassiers teintés du ciel… torche parmi les fûts héréditaires œil sans rives sans mémoire dieu et que n’importunent vos fumé… par la mort et la fête

clé de voûte hiéroglyphes peu importe la conste… impossible l’erreur difficile l’errance le hochet dire… repris aux fauves le territoire sa…

Tu les connais, mon cœur, doucemen… A fond de cale leurs croupissement… Parfois une surgie allume dans la… Passez, soleil, les plaies sanglan… Passez.

sans cette colère c’est clair il ne s’agirait plus que d’une dou… mal dilué par les eaux vomi des terres je salue le vieux lion et son cour…

Fumez marais les images rupestres de l’inconnu vers moi détournent le silencieux… de leur rire Fumez ô marais cœur d’oursin