D’où vient que ce nom de Fréron Est l’emblème du ridicule ? Si quelque maître Aliboron, Sans esprit comme sans scrupule, Brave les moeurs et la raison ;

(Sur la calomnie.) Écoutez-moi, respectable Emilie : Vous êtes belle ; ainsi donc la mo… Du genre humain sera votre ennemie… Vous possédez un sublime génie ;

(Sur son mariage avec M. le duc d… Un prêtre, un oui, trois mots lati… A jamais fixent vos destins ; Et le célébrant d’un village, Dans la chapelle de Montjeu,

Philis, qu’est devenu ce temps Où dans un fiacre promenée, Sans laquais, sans ajustements, De tes grâces seules ornée, Contente d’un mauvais soupé

(En lui renvoyant les œuvres de D… Rimeur charmant, plein de raison, Philosophe entouré des Grâces, Epicure, avec Apollon, S’empresse à marcher sur vos trace…

1734. Je vous adore, ô ma chère Uranie… Pourquoi si tard m’avez-vous enfla… Qu’ai-je donc fait des beaux jours… Ils sont perdus ; je n’avais point…

Lorsque ce grand courrier de la ph… Condamine l’observateur, De l’Afrique au Pérou conduit par… Par la gloire, et par la manie, S’en va griller sous l’équateur,

1734. Qu’un autre vous enseigne, ô ma ch… À mesurer la terre, à lire dans le… Et soumettre à votre génie Ce que l’amour soumet au pouvoir d…

1766. Si vous brillez à votre aurore, Quand je m’éteins à mon couchant ; Si dans votre fertile champ Tant de fleurs s’empressent d’éclo…

Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de quatre-vingts hivers… Ma Muse faible et surannée Puisse encor fredonner des vers ? Quelquefois un peu de verdure

(Sur la liaison de la marquise ave… Ainsi donc cent beautés nouvelles Vont fixer vos brillants esprits Vous renoncez aux étincelles, Aux feux follets de mes écrits

J’irai chez vous, duc adorable, Vous dont le goût, la vérité, L’esprit, la candeur, la bonté, Et la douceur inaltérable, Font respecter la volupté,

“ Si vous voulez que j’aime encore… Rendez-moi l’âge des amours ; Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s’il se peut, l’aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin

(Du camp de Philisbourg, le 3 jui… C’est ici que l’on dort sans lit, Et qu’on prend ses repas par terre… Je vois et j’entends l’atmosphère Qui s’embrase et qui retentit

Sonnet. Il n’est mortel qui ne forme des v… L’un de Voisin convoite la puissa… L’autre voudrait engloutir la fina… Qu’accumula le beau-père d’Évreux.