Qui peut savoir combien de jalouse… De haines, par l’envie en tous lie… De sourds ressentiments, d’inimiti… D’orages à courber les plus sublim… Combien de passions, de fureurs, d…

Devant les douze lords de la chamb… Hugo Dundas fut grand. Du fond d’une tribune une femme vo… L’admirait en pleurant. Nuit, flambeaux, murs drapés, blas…

Ciel ! un fourmillement emplit l’e… On entend l’invisible errer et se… Près de l’homme endormi tout vit d… Le crépuscule, plein de figures fu… Soupire ; au fond des bois le daim…

L’habit râpé Vivent les bas de soie et les soul… La chaise dépaillée Dieu dit aux bons fauteuils : faut… Le poêle froid

—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…

IX. Oh ! bien loin de la voie Où marche le pécheur, Chemine où Dieu t’envoie ! Enfant, garde ta joie !

L’espace est noir, l’onde est somb… Là-bas, sur le gouffre obscur, Brillent le phare dans l’ombre Et l’étoile dans l’azur. La nuit pose, pour la voile

Oh ! de mon ardente fièvre Un baiser peut me guérir. Laisse ma lèvre à ta lèvre S’attacher pour y mourir. Ta bouche, c’est le ciel même.

VII. Toi qui bats de ton flux fidèle La roche où j’ai ployé mon aile, Vaincu, mais non pas abattu, Gouffre où l’air joue, où l’esquif…

VII. Une nuit,—c’est toujours la nuit d… Il s’éveilla. Luisant comme un hi… D’étranges visions emplissaient sa… Des rires éclataient sous son plaf…

«–Sa morale a du bon. –Il est mor… –Il changeait en vin l’eau. –Ça s’… –Il était de Judée. Il avait douz… –Gens grossiers. –Gens de rien. –… –Il leur lavait les pieds. –C’est…

Tu ne dois pas chercher le pouvoir… Ton œuvre ailleurs ; tu dois, espr… Devant l’occasion reculer chasteme… De la pensée en deuil doux et sévè… Compris ou dédaigné des hommes, tu…

Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître… Viens, quittons cette ville au cri… Qui, géante, et jamais ne fermant… Presse un flot écumant entre ses f… Lutèce, si petite au temps de tes…

Tu savais bien qu’un jour il faudr… Mais tu n’imaginais ni Séjan, ni… Tu te croyais de ceux que la haine… Frappe furtivement d’un coup de fo… Tu t’étais figuré qu’on te renvers…

L’amour, panique De la raison, Se communique Par le frisson. Laissez-moi dire,