MINUIT. Le frêle esquif sur la mer sombre Sombre ; La foudre perce d’un éclair L’air.

Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…

Quand l’enfant nous regarde, on se… Quand il pleure, j’entends le tonn… Car penser c’est entendre, et le v… Est souvent averti par un vague to… Quand ce petit être, humble et pli…

L’homme en songeant descend au gou… J’errais près du dolmen qui domine… À l’endroit où le cap se prolonge… Le spectre m’attendait; l’être som… Me prit par les cheveux dans sa ma…

Dante écrit deux vers, puis il sor… Se parlent. Le premier dit :– Les… Cieux ! je suis immortel.– Moi, j… Dit l’autre.– je suis l’astre.– E… —Quoi ! tu doutes étant fils d’un…

À Josep… Cuncta… HORACE. Dans une grande fête, un jour, au… J’avais sept ans, je vis passer N…

Chantez ; l’ardent refrain flamboi… Jurez même, noble ou vilain ! Le chant est un verre de joie Dont le juron est le trop-plein. L’homme est heureux sous la tonnel…

Je vis cette faucheuse. Elle étai… Elle allait à grands pas moissonna… Noir squelette laissant passer le… Dans l’ombre où l’on dirait que to… L’homme suivait des yeux les lueur…

Oui, c’est bien le vallon ! le val… Ici l’été plus frais s’épanouit à… Ici durent longtemps les fleurs qu… Ici l’âme contemple, écoute, adore… Et prend pitié du monde, étroit et…

Comme elle court ! voyez ! – Par… Par les gazons tout pleins de touf… Par les blés où le pavot brille, Par les chemins perdus, par les ch… Par les monts, par les bois, par l…

Tu viens d’incendier la Bibliothè… —Oui. J’ai mis le feu là. —Mais c’est un crime inouï ! Crime commis par toi contre toi-mê…

Quand l’empire romain tomba désesp… —Car, ô Rome, l’abîme où Carthage… Attendait que tu la suivisses !— Quand, n’ayant rien en lui de gran… Ce monde agonisa, triste, ayant ép…

Dieu prit sa plus molle argile Et son plus pur kaolin, Et fit un bijou fragile, Mystérieux et câlin. Il fit le doigt de la femme,

Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,

PAUVRE femme ! son lait à sa tê… Et, dans ses froids salons, le mon… Parmi les vains propos que chaque… Hier, qu’elle était folle, aujourd… Et, seul au champ des morts, je fo…