Hier il m’a semblé (sans doute j’é… Voir sur l’arche d’un pont un choc… Tout cuirassés de fer, tout imbriq… Et caparaçonnés de harnais singuli… Des dragons accroupis grommelaient…

Connaissez-vous dans le parc de V… Une Naïade, œil vert et sein gonf… La belle habite un château de roca… D’ordre toscan et tout vermiculé. Sur les coraux et sur les madrépor…

Il est un sentier creux dans la va… Qui ne sait trop s’il marche à gau… —C’est plaisir d’y passer, lorsque… Comme un jeune prodigue, égrène se… L’aubépine fleurit ; les frêles pâ…

Lorsque l’on est monté jusqu’au ni… Et que l’on voit, sous soi, les pl… Se fondre et s’effacer au flanc de… Et, comme un lac, bleuir tout au f… On s’aperçoit enfin qu’on grimpera…

C’est un marais dont l’eau dormant… Croupit, couverte d’une mante Par les nénuphars et les joncs : Chaque bruit sous leurs nappes gla… Fait au chœur des grenouilles rauq…

Ce n’était, l’an passé, qu’une enf… Dont l’œil bleu, transparent et ca… Du lac qui réfléchit le ciel riant… N’exprimait que bonheur et naïve g… Que j’aimais dans le parc la voir…

A la morne Chartreuse, entre des… En place de jardin l’on voit un ci… Un cimetière nu comme un sillon fa… Sans croix, sans monument, sans te… L’oubli couvre le nom, l’herbe cou…

Ne sois pas étonné si la foule, ô… Dédaigne de gravir ton oeuvre jusq… La foule est comme l’eau qui fuit… Où le niveau n’est pas, elle ne vi… Donc, sans prendre à lui plaire un…

Il naît sous le soleil de nobles c… Unissant ici-bas tout ce qu’on peu… Corps de fer, cœur de flamme, admi… Dieu semble les produire afin de s… Il prend, pour les pétrir, une arg…

Or çà, la belle fille, Ouvrez cette mantille ! C’est trop de cruauté ; Faites-nous cette joie Que pleinement on voie

Tout amoureux, de sa maîtresse, Sur son coeur ou dans son tiroir, Possède un gage qu’il caresse Aux jours de regret ou d’espoir. L’un d’une chevelure noire,

La petite Marie est morte, Et son cercueil est si peu long Qu’il tient sous le bras qui l’emp… Comme un étui de violon. Sur le tapis et sur la table

Les pitons des sierras, les dunes… Où ne pousse jamais un seul brin d… Les monts aux flancs zébrés de tuf… Et que l’éboulement de jour en jou… Le grès plein de micas papillotant…

Ma belle amie est morte : Je pleurerai toujours ; Sous la tombe elle emporte Mon âme et mes amours. Dans le ciel, sans m’attendre,

Quand je vais poursuivant mes cour… Je m’arrête surtout aux vieux chât… J’aime leurs toits d’ardoise aux r… Aux faîtes couronnés d’arbustes ra… Leurs pignons anguleux, leurs tour…