Quand je vois des vivants la multi… Sur ce globe mauvais de fléaux inf… Parfois je m’abandonne à des pense… Et j’ose prononcer un vœu de chast… Du plus aveugle instinct je me veu…

J’ai vu, tels que des morts réveil… Les moines, lampe en main, se rang… Puis pousser, comme un vol de corb… Leurs noirs miserere qui plaisent… Le néant dans le cloître a sonné s…

Sonnet. Que n’ai-je un peu de voix ! J’ai… De sentir mon poème en ma poitrine… Et de ne pouvoir pas, plus créateu… Comme j’ai mis mon cœur, mettre mo…

Sonnet. C’était un homme doux, de chétive… Qui, tout en polissant des verres… Mit l’essence divine en formules t… Si nettes que le monde en fut épou…

J’ai mon sérail comme un prince d’… Riche en beautés pour un immense a… Je leur souris selon ma fantaisie… J’aime éternellement la dernière c… Et je les choisis tour à tour.

Les grands appartements qu’elle ha… Sont tièdes. Aux plafonds, légers… Planent d’amoureuses peintures. Nul bruit ; partout les voix, les… Par la laine opulente et molle des…

Ceux qui tiennent le soc, la truel… Sont plus heureux que vous, enfant… Chaque jour les vient secourir Dans leurs quotidiennes misères ; Mais vous, les travailleurs pensif…

On ne songe à la Mort que dans so… Au sépulcre éloquent d’un être qui… J’ai, pour m’en pénétrer, fait un… Et je pèse aujourd’hui ma tristess… Je veux, à mon retour de cette som…

Je veux lui dire quelque chose, Je ne peux pas ; Le mot dirait plus que je n’ose, Même tout bas. D’où vient que je suis plus timide

À Jules Guiffrey. J’étais, j’entrais au tombeau Où mes aïeux rêvent ensemble. Ils ont dit : « La nuit lourde tr… Est-ce l’approche d’un flambeau,

Sonnet. Si peu d’œuvres pour tant de fatig… De stériles soucis notre journée e… Leur meute sans pitié nous chasse… Nous pousse, nous dévore, et l’heu…

Sans bruit, sous le miroir des lac… Le cygne chasse l’onde avec ses la… Et glisse. Le duvet de ses flancs… À des neiges d’avril qui croulent… Mais, ferme et d’un blanc mat, vib…

À Paul Bouvard. Je rêve, et la pâle rosée Dans les plaines perle sans bruit, Sur le duvet des fleurs posée Par la main fraîche de la nuit.

Sonnet. Un de mes grands péchés me suivait… Se plaignant de vieillir dans un l… Sous la dent du remords il ne se p… Et parlait haut tout seul quand je…

À R. Albaret. Newton, voyant tomber la pomme, Conçut la matière et ses lois : Oh ! surgira-t-il une fois Un Newton pour l’âme de l’homme ?