À travers le bois fauve et radieux… Récitant des vers sans qu’on les e… Vont, couverts de pourpre et d’orf… Les Comédiens, rois et demi-dieux… Hérode brandit son glaive odieux ;
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
Travailler, même avec courage, Mais sans méthode, est temps perdu… Pour faire un travail étendu Apprends à diviser l’ouvrage : Qui, pour abattre une forêt,
Sonnet. Pâle comme un matin de septembre e… Elle avait la douceur magnétique d… Tout s’apaisait près d’elle en un… Comme le bruit des pas s’étouffe d…
Elle est fragile à caresser, L’épousée au front diaphane, Lis pur qu’un rien ternit et fane, Lis tendre qu’un rien peut froisse… Que nul homme ne peut presser,
Petit Corentin Ô charmant lutin Si doux et gentil Débordant de vie. C’est un enchantement
Je sais ce que je fuis Mes ombres qui s’aiment tortures sans chaînes mes pensées me saignent
Je me suis souvent dit, voyant de… L’homme agit et qu’il se comporte En mille occasions, comme les anim… Le Roi de ces gens-là n’a pas moi… Que ses sujets, et la nature
Il n’est pas mort, Ami, ce poète… Il n’est pas mort, Ami, tu le dis… II ne dort pas, il veille, étince… La flamme, je l’étouffe, et je ret… Que dire et que chanter quand la p…
Toi qui m’entends sans peur te par… Parce que ton espoir te promet qu’… Et que le court sommeil commencé d… S’achève au clair pays des étoiles… Reçois mon dernier vœu pour le jou…
Les Mavromikhalis, les aigles du… Ont traqué trois cents Turks dans… Et, de l’aube à midi, font siffler… Balles et rocs du faîte ardu de la… L’amorce sèche brûle et jaillit pa…
Vous mîtes votre bras adroit, Un soir d’été, sur mon bras... gau… J’aimerai toujours cet endroit, Un café de la Rive-Gauche ; Au bord de la Seine, à Paris :
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
Je voudrais posséder pour dire tes… Le plain-chant triomphal des vague… Ou les poumons géants des vents in… Je voudrais dominer les lourds éch… Qui jettent, dans la nuit des paro…
Je n’ai pas toujours été comme ça À éviter le regard des gens Mon reflet est parti en éclats Seul pourra le réparer le temps Est-ce qu’un jour je sortirai de l…
Pressé de désespoir, mes yeux flam… À ma beauté cruelle, et baisant pa… Mon poignard nu, je l’offre aux ma… Et lâchant mes soupirs en ma tremb… Ces mots coupés je presse :
À madame Hector Calot. À mi-juin, quand les fruits rougis… Pour le bec des oiseaux quand la c… Le beau loriot chante—on reconnaît… Comme un ruisseau jaseur qui rit d…
Les cavaliers se tiennent sur la route et de profil. On ne sait plus quel est leur nombre. Contre la nuit qui ferme le chemin, entre la rivière et le pont une source qui pleure—un arbre...
De l’eau qui tombe goutte à goutte… Chrysa, je n’entends plus le bruit… Le ciel est clair, l’ouragan fuit… L’oiseau joue au bord de la route. Entre les sentiers tortueux,
À Jules Berge. C’est un dimanche soir.—Un large… Étale son argent sur la grève et l… La mer baisse... On entend comme… Dans la rumeur du flot qui jamais…
Ce n’est l’ambition, ni le soin d’… Qui m’a fait délaisser ma rive pat… Pour voir ces monts couverts d’une… Et par mille dangers ma fortune qu… Le vrai honneur, qui n’est coutumi…
C est le narrateur de Sunday . C est la rubrique du journal Comè… C est le récit du reportage .. c… C est du poulet mariné carottes . C est la jacquerie et la fronde à…
Proscrit, errant, sans foyer, sans… Cet enfant nouveau né d’une épouse… Même en nous consolant ajoutait à… Mais des infortunés la généreuse a… Lui daigne ouvrir ses bras et son…
(Épigramme.) L’héritier va pleurant le mort, Pour la vieille coutume ensuivre ; Mais si le mort retournait vivre, L’héritier pleurerait plus fort.
Femme, sitôt que ton regard Eut transpercé mon existence, J’ai renié vingt espérances, J’ai brisé, d’un geste hagard, Mes dieux, mes amitiés anciennes,
Dans l’immense Prairie, océan san… Houles d’herbes qui vont et n’ont… Cent rouges cavaliers, sur les mus… Pourchassent le torrent farouche d… La plume d’aigle au crâne, et de l…
Endymion s’endort sur le mont soli… Lui que Phœbé la nuit visite avec… Qu’elle adore en secret, un enfant… Il est timide et fier, il est disc… Un charme grave au choix d’une ama…
Une étincelle perla sur ma joue. Elle était si parfaite ! Son éclat me semblait doux Et mettait mon coeur en fête. Jamais je n’aurais cru un jour
Qui donne sans prendre Sans rien apprendre ? Qui octroie de la valeur à un gest… Qui est immodeste ? Quel maître de l’équilibre
Je sens voler sur tes traces, Ô belle aux yeux languissants, Tout émus et frémissants, Si tu passes, Mon cœur, mon âme et mes sens.