Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
Braves gens écoutez ma complainte écoutez l’histoire de ma vie c’est un orphelin qui vous parle qui vous raconte ses petits ennuis hue donc...
Le nez rouge, la face blême, Sur un pupitre de glaçons, L’Hiver exécute son thème Dans le quatuor des saisons. Il chante d’une voix peu sûre
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise
L’homme pâle, le long des pelouses… Chemine, en habit noir, et le ciga… L’Homme pâle repense aux fleurs d… —Et parfois son oeil terne a des r… Car l’Empereur est soûl de ses vi…
Jour beni C’est ton jour Où tu es né Un sacré jour Joie apportée
LUI.– Ta poitrine sur ma poitrin… Hein ? nous irions, Ayant de l’air plein la narine, Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne
Un village écoute désolé Le chant d’un oiseau blessé C’est le seul oiseau du village Et c’est le seul chat du village Qui l’a à moitié dévoré
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Couronné d’étincelles Un marchand de pierres à briquet Élève la voix le soir Dans les couloirs de la station Javel
Soit lointaine, soit voisine, Espagnole ou sarrazine, Il n’est pas une cité Qui dispute sans folie A Grenade la jolie
Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! La boule de neige
Il me serait facile d’articuler tant à l’égard du Parti Communiste Français qu’à l’égard du Communisme International tel qu’il est patronné par l’Union Soviétique, une longue liste de g...
—Elle était fort déshabillée Et de grands arbres indiscrets Aux vitres jetaient leur feuillée Malinement, tout près, tout près. Assise sur ma grande chaise,
Penché contre un grand fleuve, inf… M’arrachent à regret aux riants en… Âme aux pesantes mains, pleines de… Il faut que le ciel cède au glas d… Le coeur dur, l’oeil distrait des…
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
La Pythie, exhalant la flamme De naseaux durcis par l’encens, Haletante, ivre, hurle !... l’âme Affreuse, et les flancs mugissants… Pâle, profondément mordue,
Le petit homme qui chantait sans c… le petit homme qui dansait dans ma… le petit homme de la jeunesse a cassé son lacet de soulier et toutes les baraques de la fête
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Le bras sur un marteau gigantesque… D’ivresse et de grandeur, le front… Comme un clairon d’airain, avec to… Et prenant ce gros-là dans son reg… Le Forgeron parlait à Louis Seiz…
Plaisir d’amour ne dure qu’un mome… Chagrin d’amour dure toute la vie. J’ai tout quitté pour l’ingrate S… Elle me quitte et prend un autre a… Plaisir d’amour ne dure qu’un mome…
Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S’accorde à mon désir ? Comme je t’aime en mes beaux jours…
Ce toit tranquille, où marchent de… Entre les pins palpite, entre les… Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommenc… Ô récompense après une pensée
Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest… Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie
Anne qui se mélange au drap pâle e… Des cheveux endormis sur ses yeux… Mire ses bras lointains tournés av… Sur la peau sans couleur du ventre… Elle vide, elle enfle d’ombre sa g…
Une soirée bilan, d’une chaleur bi… Un moment hors du temps, pour résu… Whatsapp vient d’arriver, pour tou… Digne d’un compte de fée, on va fa… Sortez les troubadours, ballons et…
Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Allons allons Pressons Allons allons Voyons pressons Il y a trop de voyageurs