Il lui disait : « Vois-tu, si tou… L’âme pleine de foi, le coeur plei… Ivres de douce extase et de mélanc… Rompre les mille noeuds dont la vi… Si nous pouvions quitter ce Paris…
Sous le pont Mirabeau coule la Se… Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la p… Vienne la nuit sonne l’heure
Le firmament est plein de la vaste… Tout est joie, innocence, espoir,… Le beau lac brille au fond du vall… Le champ sera fécond, la vigne ser… Tout regorge de sève et de vie et…
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
Sa grandeur éblouit l’histoire. Quinze ans, il fut Le dieu que traînait la victoire Sur un affût ; L’Europe sous la loi guerrière
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le s… L’oiseau si tendre l’oiseau moqueu… L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain se cogne
Un homme sort de chez lui C’est très tôt le matin Cest un homme qui est triste Cela se voit à sa figure Soudain dans une boîte à ordures
J’en ai vu un qui s’était assis sur le chapeau d’un autre il lui était absolument impossible de faire un geste ou de parler et l’autre l’autre qui cherchait « son » chapeau était plus p...
Ô sainte horreur du mal ! Devoir f… Quand Virgile suspend la chèvre a… Quand Lucrèce revêt de feuilles l… Quand Ennius compare au satyre co… Le bouc passant sa tête à travers…
Dans la salle à manger brune, que… Une odeur de vernis et de fruits,… Je ramassais un plat de je ne sais… Belge, et je m’épatais dans mon im… En mangeant, j’écoutais l’horloge,…
Tant de forêts arrachées à la terr… et massacrées achevées rotativées Tant de forêts sacrifiées pour la…
Je suis l’esprit, vivant au sein d… Je sais forger les clefs quand on… Je fais vers le désert reculer le… Je m’appelle Bacchus, Noé, Deuca… Je m’appelle Shakspeare, Annibal,…
C’est le texte court .. le muscle… Le sport .. le corps nu en sueur… Le copain adore la saucisse juteus… Les jeux séculaires .. l affaire… Classée .. qui resteras dans les…
La chambre est pleine d’ombre ; on… De deux enfants le triste et doux… Leur front se penche, encore alour… Sous le long rideau blanc qui trem… —Au dehors les oiseaux se rapproch…
Puisque mai tout en fleurs dans le… Viens ! ne te lasse pas de mêler à… La campagne, les bois, les ombrage… Les larges clairs de lune au bord… Le sentier qui finit où le chemin…
Je veille, et nuit et jour mon fro… Ma joue en pleurs ruisselle, Depuis qu’Albaydé dans la tombe a… Ses beaux yeux de gazelle. Car elle avait quinze ans, un sour…
Plaisir d’amour ne dure qu’un mome… Chagrin d’amour dure toute la vie. J’ai tout quitté pour l’ingrate S… Elle me quitte et prend un autre a… Plaisir d’amour ne dure qu’un mome…
Qui pleure là, sinon le vent simpl… Seule, avec diamants extrêmes ?...… Si proche de moi-même au moment de… Cette main, sur mes traits qu’elle… Distraitement docile à quelque fin…
Las de l’amer repos où ma paresse… Une gloire pour qui jadis j’ai fui… Adorable des bois de roses sous l’… Naturel, et plus las sept fois du… De creuser par veillée une fosse n…
Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ;
Complainte de la mer dans le fracas du vent Tout ce qu’elle vocifère et qu’ell… Tout ce qu’elle tait soudain Silencieuse étale et plate calmeme…
Mon coeur sage, fuyez l’odeur des… Voici que le matin frise comme un… L’air est un écran d’or où des ail… Pourquoi partiriez-vous pour Nice… Quel besoin avez-vous de la luisan…
Je t’aime pour toutes les femmes q… Je t’aime pour tous les temps où j… Pour l’odeur du grand large et l’o… Pour la neige qui fond pour les pr… Pour les animaux purs que l’homme…
Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S’accorde à mon désir ? Comme je t’aime en mes beaux jours…
Pouvons-nous étouffer le vieux, le… Qui vit, s’agite et se tortille Et se nourrit de nous comme le ver… Comme du chêne la chenille ? Pouvons-nous étouffer l’implacable…
dans le sol il y a une hâte que la syllabe de l’évènement ne dénoue pas mais seulement la terre en un flot sans galet pétrissant d’espace et faisaient aux villes une grande ceinture cha...
À Stéphane Mallarmé Il parle italien avec un accent ru… Il dit : « Chère, il serait préci… Riche, et seul, tout demain et tou… Mais riche à paver d’or monnayé le…
Dedham, vu de Langham. L’été est sombre Où des nuages se rassemblent. On pourrait croire
Voie lactée ô sœur lumineuse Des blancs ruisseaux de Chanaan Et des corps blancs des amoureuses Nageurs morts suivrons-nous d’ahan Ton cours vers d’autres nébuleuses
Heureux l’homme, occupé de l’étern… Qui, tel qu’un voyageur qui part d… Se réveille, l’esprit rempli de rê… Et, dès l’aube du jour, se met à l… A mesure qu’il lit, le jour vient…