Comme une grande fleur trop lourde… Parfois, toute en mes bras, tu ren… Et plonges dans mes yeux tes beaux… Avec un long sourire où miroitent… Je t’enlace ; j’ai comme un peu de…
C est le texte du lundi . Les parents ne sont pas trop riche… Le père, c est le maçon du village… La mère est au foyer, pour s occup… Les parents feront le nécessaire…
Amour déchu Ha ! Amour de ma jeune vie ! Toi dont j’ai tant sourit, Je te voyais tous les jours, Pleine de joie et de dynamisme com…
La frégate retourne au port, voile… Et, pour mieux voir la côte aux fa… Je monte dans la hune où me suit u… La vergue tremble ; il court sur c… « J’y suis habitué, dit-il, mais p…
Une pierre tombe au loin, sur ma g… Rebondit en félin, sur un des sham… Ils sont tous déroulés, attendant… Cette pierre est un sphinx, orient… Elle te montre comment vaincre, ce…
Dans un parc oublié dont le silenc… Les rêveurs, sentinelle ancienne d… Le grand arbre muet isole son orgu… Et vers le ciel étend ses branches… Son tronc noir se raidit musculeux…
Douce vérité Jamais je n’ai autant rêvé, De toutes ces choses qui me sont a… Ces joies et ces peines qui me son… Ces rires et ces larmes qui me son…
Une randonnée de sable, la sueur s… Je ne suis un être normal, qu’un p… Ces dunes de marécages, rigole de… A moi ces paysages, si peu origina… Je les juge comme ma femme, à trav…
Le dernier rêve s’est enfui, Une lune sans couleur Trépasse au fond de la nuit. Qu’ai-je fait de la douleur ? Le jour nouveau, il a lui !
La chapelle de l’abbaye Avait été toute envahie D’un flot d’oisifs & de flâneurs ; Et sur le marbre blanc des dalles, Deux moins, traînant leurs sandale…
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
S’il est vrai qu’on fait bien d’ad… Le dessin magnifique et pur du sol… Les bois frais, les blés verts qui… S’il est exquis de suivre à pied l… Il est meilleur d’aller sans remue…
Au temps des Empereurs, quand les… Impuissants à garder leur culte et… Pâlissaient, se taisaient sur l’au… Devant le Dieu nouveau dont on av… En ces jours de ruine et d’immense…
Comme un père en ses bras tient un… Et doucement la serre, et, loin de… S’arrête au coin d’un mur pour lui… Je te porte couvée au secret de mo… Ô toi que j’élus douce entre toute…
Tu dors content, Voltaire, et de… L’ironique reflet parmi nous est r… Le siècle t’a compris ; la jeuness… Toi, tu sommeilles, calme, et dans… L’édifice pesant que tu voulais dé…
Le soleil brûlant Les fleurs qu’en allant Tu cueilles, Viens fuir son ardeur Sous la profondeur
Il faisait un jour blanc & tout ch… Les oiseaux accablés se taisaient… Les herbes se tordaient au baiser… Dans les champs moissonnés les pai… Abritaient des cigales,
Êtes-vous quelquefois, rêveur, pas… Des baraques de bois qui craquaien… Il faisait froid et chaud. C’étai… Un être maigre et laid sautait sur… Il riait. Il était revêtu d’un la…
Quand, au bord de chemin, vient la… Elle hésite un instant avant de le… Elle voudrait cacher sa course fug… Redoutant le chasseur qui la pourr… Dans ses grands yeux scintille une…
Comme un astre luit sur la terre, Sans que sa lumière s’altère Aux feux obscurcis d’ici-bas ; Ou, comme ces vagues lointaines, Qui, jamais n’ont baigné les plain…
Nature, où sont tes Dieux ? Ô pro… Ô chair mystérieuse où tout est co… Qui pendant si longtemps as vécu d… Et qui sembles mourir, parle, qu’e… Cet âge de vertu que chaque jour e…
Sonnet. Pâle comme un matin de septembre e… Elle avait la douceur magnétique d… Tout s’apaisait près d’elle en un… Comme le bruit des pas s’étouffe d…
Fable XV, Livre II. « Que fais-tu donc en ce bourbier, Où je te vois vautré sans cesse ?… Au pourceau disait le coursier. « Ce que j’y fais ? parbleu ! j’en…
C’est le petit dauphinois . C’était le silence des murs blancs… C’était le vieux brigand des chemi… Connu sous le nom .. Condor . Une cicatrice sous l œil gauche .
C est le vendredi Treize . C est la rubrique dans le journal… Tu vois l ami .. tu viens d avoir… Tu as travaillé toute ton existenc… Aujourd’hui .. tu penses à la ret…
Dans l’ovale du cadre où s’éteint… Sous le verre, l’éclat d’un pastel… S’amortit en des tons gris de perl… Qu’il est vieux, et le temps lui f… C’est la mémoire encore, et ce fut…
C est la rubrique de Summer . C est un article sur le journal M… Le gars vient de perdre quelques d… Entre la lourde et le pavé . Le requiem du café noir sur le cha…
Au pays où se fait la guerre Mon bel ami s’en est allé ; Il semble à mon cœur désolé Qu’il ne reste que moi sur terre ! En partant, au baiser d’adieu,
(En… Lisez et relisez, ma sœur, De Psyché l’admirable histoire : Vous y verrez que le bonheur N’est pas toujours avec la gloire.
Pour quelle faute originelle, Bohèmes qui tendez les mains, Allez-vous ainsi, sans semelle, De vos pieds user les chemins. Nous, nous rêvons une industrie