Il est né, j’ai perdu mon jeune bi… Je le tenais si bien dans mon âme… Il habitait mon sein, il buvait me… Je le laissais jouer et tirailler… À qui vais-je parler dans mon cœur…
J’ai, toute cette nuit, ferme et t… Écrit, rêvé,... c’est bien, et je… Je suis content de moi ! La nuit… C’est l’aurore ; mes yeux voient m… Puissé-je ainsi, penché sur l’exis…
Quand là je pars pour la maison de… Et qu’à l’entrée je te vois derriè… Tu m’attires tel un aimant sans le… Je suis foudroyé par ton charme he… D’emblée je me précipite vers ta p…
Cette vieille cloche d’église Qu’une gloire en larmes encor Blasonne, brode et fleurdelise, Rutile à nos yeux comme l’or. On lit le nom de la marraine,
À Alex de Bertha. L’absent qu’on n’osait plus attend… Sans bruit il a poussé la porte. Son chien, aveugle et sourd, au fl… Et par la grande cour l’escorte.
Petit Corentin Ô charmant lutin Si doux et gentil Débordant de vie. C’est un enchantement
Tout vit, tout aime ! et moi, tris… Ainsi qu’un arbre mort sur le ciel… Je ne peux plus aimer, moi qui n’a… Et je viens de quitter sans regret… Je suis comme un malade aux penser…
Quoi ? toujours il me manquera Quelqu’un de ce peuple imbécile ! Toujours le Loup m’en gobera ! J’aurai beau les compter : ils éta… Et m’ont laissé ravir notre pauvre…
Bats tambour ! Bats tambour ! C’est pour moi le dernier jour : Quand sonnera la trompette, Camarades, c’est ma fête,
Bonjour la poésie . Le vingt cinq décembre .. le réci… Lucie et Alain vous souhaite un j… Avec l étoile et le bleu du ciel… Pleins de cadeaux sous le sapin .
L’autre soir, je voyais la petite… Rester, près de la lampe, en extas… Car elle avait tiré de son coffre… Ce jouet d’Allemagne appelé berge… Les moutons étaient gros comme la…
L’amitié nous entoure L’amitié nous régénère L’amitié nourrit notre âme et notr… L’amitié nous donne tout ce que l’… L’amitié plus forte que l’amour
Mes allées ensommeillées Ahmed Khettaoui /Algérie **A la mémoire de : Arthur Rimbau… **** Quand on me dit, en vain :
J’ai dans le cœur un incendie qui… d’un amour si grand pour toi, qu’aussi loin que les vagues m’emp… aussi loin que mes souvenirs seron… soumis à cet amour impossible,
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Sonnet. Je t’aime, en attendant mon éterne… Celle qui doit venir à ma rencontr… Dans l’immuable éden, loin de l’in… Où les prés n’ont de fleurs qu’à p…
Des larges prés ayant le flot bleu… Jetés dans les wagons monstrueux e… Les bœufs, souffrant de l’air qui… Ont roidi leurs jarrets une nuit t… Ils entrent dans Paris par l’anci…
La mélodie nous lâche, dans le dés… A nous de faire face, au plus gran… Celui qui nous oblige, à devenir c… Qui saute chaque périple, à l’inst… Je n’ai pas aperçu, celui qui s’év…
Loin du cap de Penn’hor, où hurla… Sombre comme le rire amer des gran… Bonds sur bonds, queue au vent, cr… Va ! Cours, mon bon cheval, en ro… Qu’il est sombre, le rire amer des…
« Ma barque est tout-à-l’heure aux… Le ciel devient plus sombre et le… Je touche aux bords où vont cherch… Celui qui marche droit et celui qu… Oh ! quelle ombre ici-bas mon âme…
Sur un fond d’or pâli, les saints… Qu’un plomb noir délimite en dessi… Croisant les bras, levant au ciel… Marc, brun, près du lion ; Mathie… Et Jean, tout rose, avec l’oiseau…
Allons, insoucieuse, ô ma folle co… Voici que l’hiver sombre attriste… Rentrons fouler tous deux les sple… C’est le moment de voir le feu bri… La bise vient ; j’ai peur de son b…
C est la rubrique de Coursonas . L homme est encore prit dans les t… C est le pivert .. qui est au per… Tu vois .. il vient de parler au… Les cagoulés sont revenus à la cha…
Paris en Juin. L’été débute par l… Et, rouvrant ma croisée à l’aube,… De voir le ciel toujours brouillé… Sous mes yeux assoupis rien de ble… C’est la rue et la fange, au mois…
Les prêtres avaient dit : « En ce… On a vu s’élever des docteurs témé… Des dogmes de la foi censeurs auda… Au fond du Saint des saints l’Arc… Et le puits de l’abîme a vomi la f…
C est le courageux Ulysse le rusé… Mégère n as jamais été apprivoisée… Elle parle sur tout .. des paroles… Tartare .. le titan des terres br… Ulysse .. qui avait jalonné les c…
(En lui renvoyant les œuvres de D… Rimeur charmant, plein de raison, Philosophe entouré des Grâces, Epicure, avec Apollon, S’empresse à marcher sur vos trace…
Sonnet. Pâle comme un matin de septembre e… Elle avait la douceur magnétique d… Tout s’apaisait près d’elle en un… Comme le bruit des pas s’étouffe d…
Pourquoi convoiter l’opulence, Lorsqu’on a bon œil et bon bras ? Quand le cœur est plein de vaillan… On est heureux en tous états. Allons ! travailleurs, à l’ouvrage…
Ah ! que le monde est difficile ! Hélas ! il n’est pas fait pour moi… Ma sœur, en ton obscur asile, J’étais plus heureuse avec toi. On m’appelle ici l’étrangère ;