En ces temps merveilleux où la Th… Fleurit avec le plus de sève et d’… On raconte qu’un jour un docteur d… —Après avoir forcé les coeurs indi… Les avoir remués dans leurs profon…
Quels secrets dans mon coeur brûle… Âme par le doux masque aspirant un… De quels vains aliments sa naïve c… Fait ce rayonnement d’une femme en… Souffles, songes, silence, invinci…
il n’est pas question de livrer le… la vie-mort la mort-vie les souffleteurs de cr… été de nuit escamotés pour le rest… des chevaux qui n’ont laissé sur l…
L’oiseau du Colorado Mange du miel et des gâteaux Du chocolat des mandarines Des dragées des nougatines
Devant la porte de l’usine le travailleur soudain s’arrête le beau temps l’a tiré par la vest… et comme il se retourne et regarde le soleil
Au globule de vie toute la chance… tôt décidés que disparus dont elle… C’est comme les perles de ces peti… jusqu’au dernier alvéole une bouch… La tête d’Ogmius coiffée du sangl…
En argot les hommes appellent les… c’est dire comme ils sentent que l… mais la languie verte des arbres e… Qui peut savoir ce qu’ils disent l… Les arbres parlent arbre comme les…
Car tu vis en toutes les femmes Et toutes les femmes c’est toi. Et tout l’amour qui soit, c’est mo… Brûlant pour toi de mille flammes. Ton sourire tendre ou moqueur,
Jour ô jour de New York et de la Soukala je me recommande à vous
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Dans une boite de paille tressée Le père choisit une petite boule d… Et il la jette Dans la cuvette Devant ses enfants intrigués
Et par le soleil installant sous m… et par le vent sur ma force de den… et par le noir le long de mes musc… et par la femme couchée comme une… et par la femme au cadastre mal co…
Complainte de la mer dans le fracas du vent Tout ce qu’elle vocifère et qu’ell… Tout ce qu’elle tait soudain Silencieuse étale et plate calmeme…
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébèce les fi… Tout rien. Je la hais d’amour comme tout un c… Le mort respirait de grandes bouff…
A la poste d’hier tu télégraphiera… Facteur triste facteur un cercueil… La boussole est en os mon cœur tu… Quelque tibia marque le pôle et le… Que pour mon épitaphe un dieu tail…
Mon eau n’écoute pas mon eau chante comme un secret Mon eau ne chante pas mon eau exulte comme un secret Mon eau travaille
Dures grenades entr’ouvertes Cédant à l’excès de vos grains, Je crois voir des fronts souverain… Éclatés de leurs découvertes ! Si les soleils par vous subis,
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,
A grignoter un levant à replier un couchant Les animaux se seront enfuis emportant hors de la ville sa dernière clé de chaleur.
Il y a de grandes flaques de sang… où s’en va-t-il tout ce sang répan… est-ce la terre qui le boit et qui… drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Et sans qu’elle ait daigné séduire… à son corsage s’est délité un bouq… à ses oreilles ont germé des bourg… elle me parle une langue si douce… comprends pas mais à la longue je…
mon peuple quand hors des jours étrangers germeras-tu une tête bien tienne s… et ta parole
Oh ! vous dont le travail est joie… Vous qui n’avez pas d’autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembr… Vous qui dérobez aux fleurs l’ambr…
Il me serait facile d’articuler tant à l’égard du Parti Communiste Français qu’à l’égard du Communisme International tel qu’il est patronné par l’Union Soviétique, une longue liste de g...