Pour Henri le Grand, sous le nom… au sujet de l’absence de la prince… sous le nom d’Oranthe. 1609. Donc cette merveille des cieux,
Un grain d’ambre fondant et roulan… Ou la goutte de miel d’une abeille… Un éclair de soleil dans un rayon… Un peu d’or sous la peau pris comm… Voilà les tons subtils du cou, si…
Trente filles au corps opaque, trente filles divinisées par l’imagination, s’approchent de l’homme qui repose dans la petite vallée de la folie. L’homme en question joue avec ferveur. I...
C est le journal du poète . C est la rubrique d un mec gay . J adore me faire casser le cul . Le cul ouvert aux collectionneurs… Je suis le videur des testicules…
Parfois l’historien qui sonde Les grands règnes évanouis, Ou sur les horizons du monde Fixe ses regards éblouis, Voyant dans quelle nuit profonde
Quelle incroyable merveille tu es. Tes talents artistiques me captive… Chacun de tes beaux dessins m’a tu… Tant leur excellence m’est attract… Ta culture est si riche, je l’admi…
Bonjour .. je suis le tourangeau… Je cherche le soleil de la Cité… Une poésie du lundi, au bord de l’… Le dard puissant et le fragile ro… J ai sorti la plume contre les enn…
Après les yeux, après la bouche, a… Des cheveux, poursuivant la grâce… Je ne rencontrais pas une beauté s… Qu’une autre, sans pouvoir lui nui… Mais ce siècle est menteur bien pl…
Quand l’impro nous entraîne, par d… Nous sommes alors en scène, face à… Offrir son univers, où est sa dest… Ma principale prouesse, c’est auss… Pourquoi je suis en Grèce, cueill…
Soupirez jour et nuit sans manger… Ne songez qu’à souffrir ; Aimez, aimez vos maux, et mettez v… À n’en jamais guérir. Cependant nous rirons
Bonjour .. bienvenue sur les bull… C est les mots passants du poète… C est un homme de lettres .. en pr… Je suis l auteur de ce texte .. s… Les mots .. qui vagabondent sur l…
Sonnet. Ce qui m’excite à t’aimer, ô mon… Ce n’est pas l’heureux ciel que mo… Ce qui m’excite à t’épargner l’off… Ce n’est pas l’enfer sombre et l’h…
Sonnet LXXXVII. D’où vient cela, Mauny, que tant… D’échapper hors d’ici, plus le dém… (Et que serait-ce donc, si ce n’es… Nous y tient attachés par une douc…
Si je n’étais pas assez bon, Vois-tu, tu devais me le dire. J’ai l’habitude du pardon Comme toi celle du sourire. L’amant a dans son cœur le ciel :
D’avoir creusé ces failles invisi… J’ai retrouvé le plus grand canyon… Entre ma gorge et mon coeur Sa source est un fantôme Qui est apparu des années auparava…
Froide ou sèche, acerbe ou pédante… La critique alors est sans fruit ; Et le plus souvent elle nuit En se faisant décourageante. Moquerie est chose indigente :
Sonnet. Vague et noyée au fond du brouilla… Mon âme est un manoir dont les vit… Ce soir, l’ennui visqueux suinte a… Et je titube au mur obscur de l’an…
Arles, tes Alyscamps sont pleins… C’est là que les amants aujourd’hu… L’éternité de leurs amours : Les sarcophages creux, aux deux bo… Sont leurs bancs familiers, et la…
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Sonnet. J’ai salué le jour dès avant mon r… Il colorait déjà ma pesante paupiè… Et je dormais encor, mais sa rouge… A visité mon âme à travers le somm…
Je t’aime à l’infini. Je ne pense qu’à toi, Tes yeux verts me fascinent, Devant toi je flamboie, Ta splendeur me calcine.
C’était en octobre, un dimanche, Je revenais de déjeuner ; Vous jouiez au lit, toute blanche, Vos cartes dans votre main... fran… Qui commence à les retourner.
C est une histoire d hiver . C est une esquisse de l auteur . Ulysse le renard futé . Est bien emmerdé par Paulo de Bre… Qui veut garder les poulets dehors…
Elle est là, belle et radieuse, mo… Je la regarde, ses yeux m’accueill… Elle réchauffe mon âme, juste sort… Mon reflet est palpable, elle poli… Elle m’a saisie comme une vague, u…
Dans le parc aux lointains voilés… Les grands arbres d’où tombe avec… L’adieu des feuilles d’or parmi la… Sous le ciel pâlissant comme de la… Nous irons, si tu veux, jusqu’au s…
Ce qui la peut guérir, cette enfan… « Oui, je l’aime, et j’en souffre,… Dit-elle, et j’en veux bien mourir… Sa voix me donne au cœur une vive… Mais j’en tressaille avec plaisir.
1621. Muses, quand finira cette longue r… De contenter Gaston et a écrire d… Le soin que vous avez de la gloire… Peut-il mieux s’employer qu’à si b…
Le vieux maître excellent de l’éco… N’a certes pas créé ses tableaux d… Tant leur style absolu témoigne du… De ne confier rien à la main qui h… La Joconde n’est point parfaite p…
Voici le cabinet charmant Où les Grâces font leur toilette. Dans cette amoureuse retraite J’éprouve un doux saisissement. Tout m’y rappelle ma maîtresse,
Dès que la nuit sur nos demeures Planera plus obscurément ; Dès que sur l’airain gémissant Le marteau frappera douze heures ; Sur les pas du fidèle Amour,