Jour à jour ta vie est un immeuble qui s’élève
Des fenêtres fermées des fenêtres ouvertes
Et la porte noire au milieu
Ce qui brille dans ta figure
Les yeux
Tristes les souvenirs glissent sur ta poitrine
Devant part vers en haut l’espoir
La douceur du repos qui revient chaque soir
Tu es assis devant la porte
Tête inclinée
Dans l’ombre qui s’étend
Le calme qui descend
Une prière monte
On ne voit pas les genoux de celui qui prie