#ÉcrivainsFrançais
Il marchait sur un pied sans savoir où il poserait l’autre. Au tournant de la rue le vent balayait la poussière et sa bouche avide engouffrait tout l’espace. Il se mit à courir espérant...
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Alors sur le soleil midi devait so… Sur cet immense gong Un poing lourd s’abattait Aux applaudissements de tous Personne n’est resté couché
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…
Il fait si chaud que l’air vibre et que tout bruit devient assourdissant. Des meutes de chiens féroces aboient. Par les fenêtres ouvertes, les cris des femmes rivalisent avec cette fanf...
Les mains levées vers un point où… robuste Qui se vengera Même si tout retombe au silence po… Et moi sans être battu ni vainqueu… Derrière le porte-manteau mobile c…
La fontaine coule sur la place du… Le soleil déridé brille au travers… Les voix qui murmuraient sont bien… Il en reste encore quelques frais… J’écoute le bruit
Dans le cirque Les boulevards réduits à presque r… Des visages blafards Des coins de rue Une manche qui flotte
La fenêtre Un trou vivant où l’éclair bat Plein d’impatience Le bruit a percé le silence On ne sait plus si c’est la nuit
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
Ni eux ni rien pas même Lui Des marches parmi les branches qui… nuages On ne peut pas trouver le numéro n…
Le cavalier mourant levait pourtan… Les étoiles le fusillaient La haie du rêve noir est encore tr… Nous ne sortirons pas du sort des… Mais on peut voir déjà ce qui se p…
Avec des lumières à travers la prairie étincelante ; et des voix insignifiantes mais nombreuses—quelques unités soutenant l’ensemble—on a fait le paysage clair, la nature libre, les omb...
L’élan L’arrêt la balance au bout du traj… Tout porte à faux les mots le drap… Il naît sous l’aile de papier l’être remue