Un trou dans la lumière et la porte l’encadre
Tout est noir
Les yeux se sont remplis d’un sombre désespoir
On rit
Mais la mort passe
Dans son écharpe ténébreuse
Et dans le sillon creux
Une bête peureuse
Qui se débat pour fuir
Vers le fond du jardin où la porte est ouverte
Mais—quelqu’un vient d’entrer
Sans oser dire un mot
La lune est toute gonflée d’eau
Dans la nuit les nuages montent
J’attends l’heure qui sonne
Et je peux écouter
La fin d’un autre conte