Vous me distes, Maitresse, estant… Regardant vers Mont-martre et les… La solitaire vie, et le desert sej… Valent mieux que la Cour, je voud… A l’heure mon esprit de mes sens s…

Par un destin dedans mon cœur deme… L’œil, et la main, et le poil déli… Qui m’ont si fort brûlé, serré, li… Qu’ars, pris, lassé, par eux faut… Le feu, la serre et le rets (1), à…

Il ne fallait, maîtresse, autres t… Pour vous graver, que celles de mo… Où de sa main, Amour, notre vainq… Vous a gravée de vos grâces parfai… Là vos vertus au vif y sont portra…

Ma guiterre, je te chante, Par qui seule je deçoy, Je deçoy, je romps, j’enchante Les amours que je reçoy. Nulle chose, tant soit douce,

Amour tu sembles au phalange qui p… Lui de sa queue, et toi de ta quad… De tous deux est la pointure morte… Qui rampe au coeur, et si n’aparoi… Sans souffrir mal tu me conduis au…

Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer

Je ne suis seulement amoureux de… Anne me tient aussi dans les liens… Ore l’une me plaît, ore l’autre à… Ainsi Tibulle aimait Némésis, et… On me dira tantôt que c’est une fo…

Naguiere chanter je voulois Comme Francus au bord Gaulois Avecq’ sa troupe vint descendre, Mais mon luc pinçé de mon doi, Ne vouloit en dépit de moi

Je veux mourir pour tes beautés,… Pour ce bel oeil, qui me prit à so… Pour ce doux ris, pour ce baiser t… D’ambre et de musc, baiser d’une… Je veux mourir pour cette blonde t…

Quoy mon ame, dors tu engourdie en… La trompette a sonné, serre bagage… Le chemin deserté que Jesuchrist… Quand tout mouillé de sang racheta… C’est un chemin facheux borné de p…

Je voudrais être Ixion et Tantale… Dessus la roue et dans les eaux là… Et nu à nu presser entre mes bras Cette beauté qui les anges égale. S’ainsi était, toute peine fatale

Quand l’été, dans ton lit, tu te c… Couverte d’un linceul, de roses to… Amour, d’arc et de trousse et de f… Caché sous ton chevet, se tient en… Personne ne te voit, qui d’une cou…

Ô fontaine Bellerie, Belle fontaine chérie De nos Nymphes, quand ton eau Les cache au creux de ta source Fuyantes le Satyreau,

Le printemps n’a point tant de fle… L’automne tant de raisins meurs, L’été tant de chaleurs halées, L’hiver tant de froides gelées, Ni la mer a tant de poissons,