Je suis homme né pour mourir, Je suis bien seur que du trespas Je ne me sçaurois secourir Que poudre je n’aille là-bas. Je cognois bien les ans que j’ay,

Quand je pense à ce jour, où je la… Toute flamber d’amour, d’honneur e… Le regret, comme un trait mortelle… Me traverse le coeur d’une playe e… Alors que j’esperois la bonne grac…

Cusin, monstre à double aile, au m… Canal à tirer sang, qui voletant e… Sifles d’un son aigu, ne picque ma… Et la laisse dormir du soir jusqu’… Si ton corps d’un atome, et ton ne…

Ce beau corail, ce marbre qui soup… Et cet ébène ornement du sourcil, Et cet albâtre en voûte raccourci, Et ces saphirs, ce jaspe et ce por… Ces diamants, ces rubis qu’un Zép…

Quoy mon ame, dors tu engourdie en… La trompette a sonné, serre bagage… Le chemin deserté que Jesuchrist… Quand tout mouillé de sang racheta… C’est un chemin facheux borné de p…

T’oseroit bien quelque poète Nyer des vers, douce alouette ? Quant à moy je ne l’oserois, Je veux celebrer ton ramage Sur tous oyseaus qui sont en cage,

Que me servent mes vers et les son… Quand nuit et jour je change et de… Pour aimer sottement un visage si… Que l’homme est malheureux qui pou… Je pleure, je me deuls (1), je sui…

Vous méprisez nature, êtes-vous si… De ne vouloir aimer ? voyez les P… Qui démènent (1) l’Amour, voyez l… Regardez le Ramier, voyez la Tour… Voyez, deçà, delà, d’une frétillan…

Donne-moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou,… Dans le ruisseau d’oubly, dessus m… Endors mes pauvres yeux, mes goutt… Misericorde, ô Dieu ! ô Dieu, ne…

Je veux aimer ardemment, Aussi veux-je qu’également On m’aime d’une amour ardente : Toute amitié froidement lente Qui peut dissimuler son bien

Je veus lire en trois jours l’Ili… Et pour-ce, Corydon, ferme bien l… Si rien me vient troubler, je t’as… Tu sentiras combien pesante est ma… Je ne veus seulement que nostre ch…

Nuit, des amours ministre et serge… Des arrêts de Venus, et des saint… Qui secrète accompagne L’impatient ami de l’heure accoutu… Ô l’aimée des Dieux, mais plus enc…

Or que l’hiver roidit la glace épa… Réchauffons-nous, ma gentille maît… Non accroupis près le foyer cendre… Mais aux plaisirs des combats amou… Asseyons-nous sur cette molle couc…

Je n’ay plus que les os, un squele… Decharné, denervé, demusclé, depou… Que le trait de la mort sans pardo… Je n’ose voir mes bras que de peur… Apollon et son fils, deux grands m…

Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée,