D’autant que l’arrogance est pire… Que les pompes et fards sont toujo… Que les riches habits, d’artifice… Ne sont jamais si beaux que la pur… D’autant que l’innocente et peu ca…

Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…

Vous me distes, Maitresse, estant… Regardant vers Mont-martre et les… La solitaire vie, et le desert sej… Valent mieux que la Cour, je voud… A l’heure mon esprit de mes sens s…

Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…

Quand je pense à ce jour, où je la… Toute flamber d’amour, d’honneur e… Le regret, comme un trait mortelle… Me traverse le coeur d’une playe e… Alors que j’esperois la bonne grac…

Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi… Haleine contre haleine, échauffe-m… Mille et mille baisers donne-moi j… Amour veut tout sans nombre, amour… Baise et rebaise-moi ; belle bouch…

Tu te moques, jeune ribaude : Si j’avais la tête aussi chaude Que tu es chaude sous ta cotte, Je n’aurais besoin de calotte, Non plus qu’à ton ventre il ne fau…

L’inimitié que je te porte, Passe celle, tant elle est forte, Des aigneaux et des loups, Vieille sorcîere deshontée, Que les bourreaux ont fouëttée

Quand je te voy seule assise à par… Toute amusée avecques ta pensée, Un peu la teste encontre bas baiss… Te retirant du vulgaire et de moy… Je veux souvent pour rompre ton es…

Pour boire dessus l’herbe tendre Je veux sous un laurier m’étendre, Et veux qu’Amour, d’un petit brin Ou de lin ou de chènevière Trousse au flanc sa robe légère,

Sur mes vingt ans, pur d’offense e… Guidé, mal-caut, d’un trop aveugle… Ayant encore le menton damoiseau, Sain et gaillard je vins à ton ser… Mais, ô cruelle, outré de ta malic…

Couché sous tes ombrages verts, Gastine, je te chante Autant que les Grecs, par leurs v… La forêt d’Érymanthe : Car, malin, celer je ne puis

Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer

Dans le serein de sa jumelle flamm… Je vis Amour, qui son arc débanda… Et sur mon cœur le brandon épandai… Qui des plus froids les moelles en… Puis çà puis là près les yeux de m…

Vu que tu es plus blanche que le l… Qui t’a rougi ta lèvre vermeillett… D’un si beau teint ? Qui est-ce q… Sur ton beau sein cette couleur ro… Qui t’a noirci les arcs de tes sou…