Que me servent mes vers et les son… Quand nuit et jour je change et de… Pour aimer sottement un visage si… Que l’homme est malheureux qui pou… Je pleure, je me deuls (1), je sui…

Nature ornant la dame qui devait De sa douceur forcer les plus rebe… Lui fit présent des beautés les pl… Que dès mille ans en épargne elle… Tout ce qu’Amour avarement couvai…

Qui voudra voir comme un Dieu me… Comme il m’assaut, comme il se fai… Comme il renflamme et renglace mon… Comme il reçoit un honneur de ma h… Qui voudra voir une jeunesse promp…

Ces liens d’or, cette bouche verme… Pleine de lis, de roses et d’oeill… Et ces coraux chastement vermeille… Et cette joue à l’Aurore pareille… Ces mains, ce col, ce front, et ce…

Ode XXVII. Le boyteus mari de Vénus Aveques ses Cyclopes nus R’alumoir un jour les flammeches De sa forge, à fin d’echaufer

Qu’il me soit arraché des tétins d… Ce jeune enfant Amour, et qu’il m… II ne fait que de naître et m’a d… Vienne quelque marchand, je le met… D’un si mauvais garçon la vente n’…

Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer

Ange divin, qui mes plaies embaume… Le truchement et le héraut des die… De quelle porte es-tu coulé des ci… Pour soulager les peines de mon âm… Toi, quand la nuit par le penser m…

Ôtez votre beauté, ôtez votre jeun… Ôtez ces rares dons que vous tenez… Ôtez ce bel esprit, ôtez-moi ces b… Cet aller, ce parler digne d’une… Je ne vous serai plus d’une import…

Si d’un mort qui pourri repose Nature engendre quelque chose, Et si la generation Se fait de la corruption, Une vigne prendra naissance

Je veux aimer ardemment, Aussi veux-je qu’également On m’aime d’une amour ardente : Toute amitié froidement lente Qui peut dissimuler son bien

Fais rafraîchir mon vin, de sorte Qu’il passe en froideur un glaçon… Fais venir Jeanne, qu’elle apport… Son Luth pour dire une chanson ; Nous ballerons tous trois au son ;

Plût-il à Dieu n’avoir jamais tât… Si follement le tétin de m’amie ! Sans lui vraiment l’autre plus gra… Hélas ! ne m’eût, ne m’eût jamais… Comme un poisson, pour s’être trop…

Vous méprisez nature, êtes-vous si… De ne vouloir aimer ? voyez les P… Qui démènent (1) l’Amour, voyez l… Regardez le Ramier, voyez la Tour… Voyez, deçà, delà, d’une frétillan…

Le printemps n’a point tant de fle… L’automne tant de raisins meurs, L’été tant de chaleurs halées, L’hiver tant de froides gelées, Ni la mer a tant de poissons,