Pourtant si ta maîtresse est un pe… Tu ne dois pour cela te courroucer… Voudrais-tu bien haïr ton ami plus… Pour être un peu jureur, ou trop h… Il ne faut prendre ainsi tous péch…

Ce jour de Mai qui a la tête pein… D’une gaillarde et gentille verdeu… Ne doit passer sans que ma vive ar… Par votre grâce un peu ne soit éte… De votre part, si vous êtes attein…

Mon âge et mon sang ne sont plus e… Les ardents pensers ne m’eschauffe… Plus mon chef grison ne se veut en… Sous le joug d’aimer. En mon jeune avril, d’Amour je fu…

Adieu, belle Cassandre, et vous,… Pour qui je fus trois ans en serva… L’une vit, l’autre est morte, et o… Le Ciel se réjouit, dont la terre… Sur mon premier Avril, d’une amou…

Je voudrais bien richement jauniss… En pluie d’or goutte à goutte desc… Dans le beau sein de ma belle Cas… Lors qu’en ses yeux le somme va gl… Je voudrais bien en taureau blanch…

Au mois d’avril, quand l’an se ren… L’aube ne sort si fraîche de la me… Ni hors des flots la déesse (1) d’… Ne vint à Cypre en sa conque si b… Comme je vis la beauté que j’appel…

Pour boire dessus l’herbe tendre Je veux sous un laurier m’étendre, Et veux qu’Amour, d’un petit brin Ou de lin ou de chènevière Trousse au flanc sa robe légère,

Quiconque a peint Amour, il fut i… Non le faisant enfant chargé de tr… Non luy chargeant les mains de fla… Mais bien d’un double crespe envel… Amour hait la clarté, le jour m’es…

Je vous envoye un bouquet que ma m… Vient de trier de ces fleurs épani… Qui ne les eust à ce vespre cuilli… Cheutes à terre elles fussent dema… Cela vous soit un exemple certain

Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi… Haleine contre haleine, échauffe-m… Mille et mille baisers donne-moi j… Amour veut tout sans nombre, amour… Baise et rebaise-moi ; belle bouch…

À la sœur d’Astrée. Printemps, fils du Soleil, que la… De la fertile humeur d’une douce r… Au milieu des œillets et des roses… Quand Flore entre ses bras nourri…

Six ans étaient écoulés, et la sep… Etait presque entière en ses pas r… Quand loin d’affection, de désir e… En pure liberté je passais tout le… Et franc de tout souci qui les âme…

Je vois tes yeux dessous telle pla… Qu’autre plaisir ne me peut conten… Sinon le jour, sinon la nuit chant… Allège-moi, ma plaisante brunette. O liberté, combien je te regrette…

Plût-il à Dieu n’avoir jamais tât… Si follement le tétin de m’amie ! Sans lui vraiment l’autre plus gra… Hélas ! ne m’eût, ne m’eût jamais… Comme un poisson, pour s’être trop…

J’ay varié ma vie en devidant la t… Que Clothon me filoit entre malad… Maintenant la santé se logeoit en… Tantost la maladie extreme fleau d… La goutte ja vieillard me bourrela…