Tant de fois s’appointer, tant de… Tant de fois rompre ensemble et pu… Tantost blasmer Amour et tantost… Tant de fois se fuyr, tant de fois… Tant de fois se monstrer, tant de…

Quand au temple nous serons Agenouillés, nous ferons Les dévots selon la guise De ceux qui pour louer Dieu Humbles se courbent au lieu

Au mois d’avril, quand l’an se ren… L’aube ne sort si fraîche de la me… Ni hors des flots la déesse (1) d’… Ne vint à Cypre en sa conque si b… Comme je vis la beauté que j’appel…

Dedans des Prez je vis une Dryade… Qui comme fleur s’assisoyt par les… Et mignotoyt un chappeau de couleu… Echevelée en simple verdugade. Des ce jour là ma raison fut malad…

Si seulement l’image de la chose Fait à noz yeux la chose concevoir… Et si mon oeil n’a puissance de vo… Si quelqu’idole au devant ne s’opp… Que ne m’a fait celuy qui tout com…

Pourtant, si j’ai le chef plus bla… Que n’est d’un lis la fleur éclose… Et toi le visage plus franc Que n’est le bouton d’une rose Pour cela, cruelle, il ne faut

Quand je suis tout baissé sur votr… Je vois dedans vos yeux je ne sais… Je ne sais quoi de noir, qui m’éme… Et qui jusques au coeur de veine e… Je vois dedans Amour, qui va chan…

Ciel, air et vents, plains et mont… Tertres vineux et forêts verdoyant… Rivages torts et sources ondoyante… Taillis rasés et vous bocages vert… Antres moussus à demi-front ouvert…

Ode XXVII. Le boyteus mari de Vénus Aveques ses Cyclopes nus R’alumoir un jour les flammeches De sa forge, à fin d’echaufer

Lors que ta mere estoit preste à g… Si Jupiter, des Dieus et des homm… Lui eust juré ces mots : l’enfant… Sera tant qu’il vivra sans douleur… Et tousjours lui viendront les bie…

Quand en songeant ma folâtre j’aco… Laissant mes flancs sur les siens… Et que, d’un branle habilement lég… En sa moitié ma moitié je recolle… Amour, adonc si follement m’affole…

Une beauté de quinze ans enfantine… Un or frisé de maint crêpe anelet, Un front de rose, un teint damoise… Un ris qui l’âme aux Astres achem… Une vertu de telles beautés digne,

Plût-il à Dieu n’avoir jamais tât… Si follement le tétin de m’amie ! Sans lui vraiment l’autre plus gra… Hélas ! ne m’eût, ne m’eût jamais… Comme un poisson, pour s’être trop…

Soit que son or se crêpe lentement Ou soit qu’il vague en deux glissa… Qui çà, qui là par le sein vagabon… Et sur le col, nagent folâtrement… Ou soit qu’un noeud illustré riche…