Marie, à tous les coups vous me ve… Que je suis trop léger, et me dite… Quand je vous veux baiser, que j’a… Et toujours m’appelez inconstant e… Je le veux être aussi, les hommes…

Bien qu’à grand tort il te plaît d… Dedans mon cœur, siège à ta seigne… Non d’une amour, ainçois (1) d’une… Le feu cruel, pour mes os consumer… L’âpre tourment ne m’est point si…

Du malheur de recevoir Un étranger, sans avoir De lui quelque connaissance, Tu as fait expérience, Ménélas, ayant reçu

Je faisais ces Sonnets en l’Antre… Quand on vit les Français sous le… Quand on vit tout le peuple en fur… Quand Bellonne sanglante allait d… Quand au lieu de la loi, le vice,…

Ah longues nuicts d’hyver de ma vi… Donnez moy patience, et me laissez… Vostre nom seulement, et suer et f… Me fait par tout le corps, tant vo… Le sommeil tant soit peu n’esvente…

Couché sous tes ombrages verts, Gastine, je te chante Autant que les Grecs, par leurs v… La forêt d’Érymanthe : Car, malin, celer je ne puis

Il ne fallait, maîtresse, autres t… Pour vous graver, que celles de mo… Où de sa main, Amour, notre vainq… Vous a gravée de vos grâces parfai… Là vos vertus au vif y sont portra…

VIII. « II ne faut s’ébahir, disaient c… Dessus le mur Troyen, voyants pas… Si pour telle beauté nous souffron… Notre mal ne vaut pas un seul de s…

Ces liens d’or, cette bouche verme… Pleine de lis, de roses et d’oeill… Et ces coraux chastement vermeille… Et cette joue à l’Aurore pareille… Ces mains, ce col, ce front, et ce…

Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée,

Ores l’effroi et ores l’espérance De tous côtés se campent en mon cœ… Ni l’un ni l’autre au combat n’est… Pareils en force et en persévéranc… Ores douteux, ores pleins d’assura…

Ciel, air et vents, plains et mont… Tertres vineux et forêts verdoyant… Rivages torts et sources ondoyante… Taillis rasés et vous bocages vert… Antres moussus à demi-front ouvert…

J’ai l’esprit tout ennuyé D’avoir trop étudié Les phénomènes d’Arate ; Il est temps que je m’ébatte Et que j’aille aux champs jouer.

Naguiere chanter je voulois Comme Francus au bord Gaulois Avecq’ sa troupe vint descendre, Mais mon luc pinçé de mon doi, Ne vouloit en dépit de moi

Quand je suis tout baissé sur votr… Je vois dedans vos yeux je ne sais… Je ne sais quoi de noir, qui m’éme… Et qui jusques au coeur de veine e… Je vois dedans Amour, qui va chan…