Poésies diverses
#ÉcrivainsFrançais
Ce n’est donc pas assez ; et de la… Ariste, c’est en vers qu’il vous f… Et la mienne pour vous n’en plaint… Cent vers lui coûtent moins que de… Son feu ne peut agir quand il faut…
(Sur la mort de Mademoiselle Élis… Femme de M. Du Chevreul, Écuyer,… Sonnet. Ne verse point de pleurs sur cette… Passant : ce lit funèbre est un li…
Madrigal. Du palais d’émeraude où la riche n… M’a fait naître et régner avecque… Je viens pour adorer la divine bea… Dont le soleil n’est rien qu’une f…
(Sur la conquête de la Franche-Co… Quelle rapidité, de conquête en co… En dépit des hivers guident tes ét… Et quel dieu dans tes yeux tient c… Qui fait tomber les murs d’un seul…
Sonnet. D’un accueil si flatteur, et qui v… Vous payez ma visite alors que je… Que souvent à l’erreur j’abandonne… Et croîs seul avoir droit d’aspire…
Sonnet. Deux sonnets partagent la ville, Deux sonnets partagent la cour, Et semblent vouloir à leur tour Rallumer la guerre civile.
Sonnet. Je vous estime, Iris, et crois po… Permettre à mon respect un aveu si… Il est vrai qu’à chaque moment Je songe que je vous estime.
(Sur le départ de Madame la marqu… Allez, belle marquise, allez en d’… Semer les doux périls qui naissent… Vous trouverez partout les âmes to… A recevoir vos lois et grossir vos…
Sonnet. Vois à loisir ce lieu champêtre ; Les jours y coulent sans ennuis : Tâche, si tu peux, de connaître Tant d’herbes, de fleurs, et de fr…
Sonnet. Croissez, jeune héros ; notre doul… N’a que ce doux espoir qui la puis… Croissez, et hâtez-vous de faire v… Que le plus noble sang peut encor…
Homme, qui que tu sois, regarde E… Et comparant ta mère à celle du S… Vois laquelle des deux en est le p… Et du Père Eternel gagne mieux la… L’une à peine respire et la voilà…
(Sur la prise de Maastricht.) Sonnet. Grand roi, Maastricht est pris, e… Ce miracle était sûr à ta haute co… Et n’a rien d’étonnant que cette h…
Marquise, si mon visage A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu’à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. Le temps aux plus belles choses
Sonnet. Sous ce marbre repose un monarque… Dont la seule bonté déplut aux bon… Et qui pour tout péché ne fit qu’u… Dont il fut trop longtemps innocem…
Chanson. Vos beaux yeux sur ma franchise N’adressent pas bien leurs coups, Tête chauve et barbe grise Ne sont pas viande pour vous ;