Poésies diverses
#ÉcrivainsFrançais
Homme, qui que tu sois, regarde E… Et comparant ta mère à celle du S… Vois laquelle des deux en est le p… Et du Père Eternel gagne mieux la… L’une à peine respire et la voilà…
Sonnet. Usez moins avec moi du droit de to… Vous me perdrez bientôt si vous n’… J’aime bien a vous voir, quoi qu’e… Mais je n’aime pas bien qu’on me f…
Sonnet. Vois à loisir ce lieu champêtre ; Les jours y coulent sans ennuis : Tâche, si tu peux, de connaître Tant d’herbes, de fleurs, et de fr…
Ce n’est donc pas assez ; et de la… Ariste, c’est en vers qu’il vous f… Et la mienne pour vous n’en plaint… Cent vers lui coûtent moins que de… Son feu ne peut agir quand il faut…
N’aimez plus tant, Phylis, à vous… Le plus ardent amour n’a pas grand… Les nœuds les plus serrés sont le… A force d’aimer trop, souvent on n… Et ces liens si forts ont des lois…
Sonnet. Sous ce marbre repose un monarque… Dont la seule bonté déplut aux bon… Et qui pour tout péché ne fit qu’u… Dont il fut trop longtemps innocem…
Stance. Depuis qu’un malheureux adieu Rendit vers vous ma flamme crimine… Tout l’univers, prenant votre quer… Contre moi conspire en ce lieu.
Sonnet. Deux sonnets partagent la ville, Deux sonnets partagent la cour, Et semblent vouloir à leur tour Rallumer la guerre civile.
Madrigal. Donnez-moi vos couleurs, tulipes,… Œillets, roses, jasmins, donnez-mo… Des contraires saisons le froid ni… Ne respectent que les couronnes
Madrigal. Mes deux mains a l’envi disputent… Et dans leurs sentiments jaloux Je ne sais ce que j’en dois croire… Philis, je m’en rapporte à vous,
Enfin échappé du danger Où mon sort me voulut plonger, L’expérience indubitable Me fait tenir pour véritable Que l’on commence d’être heureux
Je pense à vous voir tant d’attrai… Qu’Amour vous a formée exprès Pour faire que sa fête on chôme, Car vous en avez une somme Bien dangereuse à voir de près.
Madrigal Au soleil. Bel astre à qui je dois mon être e… Ajoute l’immortalité A l’éclat non pareil dont je suis… Empêche que le temps n’efface mes…
(Sur sa comédie du trompeur puni.) Ton Cléonte, par son trépas, Jette un puissant appas À la supercherie Vu l’éclat infini
(Sur la conquête de la Franche-Co… Quelle rapidité, de conquête en co… En dépit des hivers guident tes ét… Et quel dieu dans tes yeux tient c… Qui fait tomber les murs d’un seul…