Sonnet. Sous ce marbre repose un monarque… Dont la seule bonté déplut aux bon… Et qui pour tout péché ne fit qu’u… Dont il fut trop longtemps innocem…

Sonnet. Vois à loisir ce lieu champêtre ; Les jours y coulent sans ennuis : Tâche, si tu peux, de connaître Tant d’herbes, de fleurs, et de fr…

Ce texte est une traduction de… anonyme de piété chrétienne de la… (Que la vérité parle au dedans du… Parle, parle, Seigneur, ton servi… Je dis ton serviteur, car enfin je…

Sonnet. Usez moins avec moi du droit de to… Vous me perdrez bientôt si vous n’… J’aime bien a vous voir, quoi qu’e… Mais je n’aime pas bien qu’on me f…

Marquise, si mon visage A quelques traits un peu vieux, Souvenez-vous qu’à mon âge Vous ne vaudrez guère mieux. Le temps aux plus belles choses

Chanson. Vos beaux yeux sur ma franchise N’adressent pas bien leurs coups, Tête chauve et barbe grise Ne sont pas viande pour vous ;

Stance. Caliste, lorsque je vous vois, Dirai-je que je vous admire ? C’est vous dire bien peu pour moi, Et peut-être c’est trop vous dire.

N’aimez plus tant, Phylis, à vous… Le plus ardent amour n’a pas grand… Les nœuds les plus serrés sont le… A force d’aimer trop, souvent on n… Et ces liens si forts ont des lois…

Je pense à vous voir tant d’attrai… Qu’Amour vous a formée exprès Pour faire que sa fête on chôme, Car vous en avez une somme Bien dangereuse à voir de près.

Sonnet. D’un accueil si flatteur, et qui v… Vous payez ma visite alors que je… Que souvent à l’erreur j’abandonne… Et croîs seul avoir droit d’aspire…

(Sur la prise de Maastricht.) Sonnet. Grand roi, Maastricht est pris, e… Ce miracle était sûr à ta haute co… Et n’a rien d’étonnant que cette h…

(Au Révérend Père Delidel de la… Jésus, sur son traité de la Théol… Toi qui nous apprends de la Grâce Quelle est la force et la douceur, Comme elle descend dans un cœur,

Si je perds bien des maîtresses, J’en fais encor plus souvent, Et mes vœux et mes promesses Ne sont que feintes caresses, Et mes vœux et mes promesses

Stance. J’ai vu la peste en raccourci : Et s’il faut en parler sans feindr… Puisque la peste est faite ainsi, Peste, que la peste est à craindre…

(Sur sa comédie du trompeur puni.) Ton Cléonte, par son trépas, Jette un puissant appas À la supercherie Vu l’éclat infini