"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
J’ai vu passer dans mon rêve —Tel l’ouragan sur la grève,— D’une main tenant un glaive Et de l’autre un sablier, Ce cavalier
Ce brouillard de Paris est fade, On dirait même qu’il est clair Au prix de cette promenade Que l’on appelle Leicester Square Mais le brouillard de Londres est
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
L’homme pauvre du cœur est-il si r… Non. Et je suis cet homme et vous… Et tous les hommes sont cet homme… Ou le seront quand l’heure opportu… Conçus dans l’agonie épuisée et pl…
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Je suis venu, calme orphelin, Riche de mes seuls yeux tranquille… Vers les hommes des grandes villes… Ils ne m’ont pas trouvé malin. À vingt ans un trouble nouveau
Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et berga… Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fa… Tout en chantant sur le mode mineu…
Malheureux ! Tous les dons, la gl… Ton enfance chrétienne, une mère q… La force et la santé comme le pain… Cet avenir enfin, décrit dans le t… De ce passé plus clair que le jeu…
Le son du cor s’afflige vers les b… D’une douleur on veut croire orphe… Qui vient mourir au bas de la coll… Parmi la bise errant en courts abo… L’âme du loup pleure dans cette vo…
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
L’autel bas s’orne de hautes mauve… La chasuble blanche est toute en f… A travers les pâles vitraux jaunes Le soleil se répand comme un fleuv… On chante au graduel : Fi-li-a !
Une aube affaiblie Verse par les champs La mélancolie Des soleils couchants. La mélancolie
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Des yeux tout autour de la tête Ainsi qu’il est dit dans Murger. Point très bonne. Un esprit d’enf… Avec des rires d’alouette. Sculpteur, musicien, poète