"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
Riche ventre qui n’a jamais porté, Seins opulents qui n’ont pas allai… Bras frais et gras, purs de tout s… Beau cou qui n’a plié que sous le… De lents baisers à tous les chers…
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
Je ne t’aime pas en toilette Et je déteste la voilette Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieu… Et j’abomine la « tournure » Parodie et caricature,
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Après la chose faite, après le cou… Après le joug très dur librement a… Et le fardeau plus lourd que le ci… Levé d’un dos vraiment et gaîment… Après la bonne haine et la chère r…
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Puisque l’aube grandit, puisque vo… Puisque, après m’avoir fui longtem… Revoler devers moi qui l’appelle e… Puisque tout ce bonheur veut bien… C’en est fait à présent des funest…
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
Le bruit de ton aiguille et celui… Sont le silence d’or dont on parla… Ah ! cessons de nous plaindre, ins… Et travaillons tranquillement au n… Quant à souffrir, quant à mourir,…
Tes yeux, tes cheveux indécis, L’arc mal précis de tes sourcils, La fleur pâlotte de ta bouche, Ton corps vague et pourtant dodu, Te donnent un air peu farouche
La sainte, ta patronne, est surtou… Dans nos pays du Nord et toute la… Dont je suis à demi, la Lorraine… Elle fut courageuse et douce et mo… Et martyre. Or il faut lui brûler…
C’est l’extase langoureuse, C’est la fatigue amoureuse, C’est tous les frissons des bois Parmi l’étreinte des brises, C’est, vers les ramures grises,
Le chagrin qui me tue est ironique… Le sarcasme au supplice, et ne tor… Franchement, mais picote avec un f… Et transforme en spectacle amusant… Et, sur la bière où gît mon rêve m…
Ah ! soyez ce que pense une foule… Ou ce que le penseur lui-même dit… Bassement orgueilleux, haineusemen… Avares, impurs, durs, la vérité vo… Et, de fait, nul de vous ne risque…
Comme l’Église est bonne en ce siè… D’orgueil et d’avarice et de tous… D’exalter aujourd’hui le caché des… Le doux entre les doux à l’ignoran… Et le mortifié sans pair que la F…