"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Au pays de mon père on voit des bo… Là des loups font parfois luire le… Et la myrtile est noire au pied du… Noire de profondeur, sur l’étang d… Sous la bise soufflant balsamiquem…
Bah ! malgré les destins jaloux, Mourons ensemble, voulez-vous ? —La proposition est rare. —Le rare est bon. Donc mourons Comme dans les Décamérons.
L’hiver a cessé : la lumière est t… Et danse, du sol au firmament clai… Il faut que le cœur le plus triste… À l’immense joie éparse dans l’air… Même ce Paris maussade et malade
Dieu vit au sein d’un cœur caché, Non d’un esprit épars, en milliers… En millions de mots hardis comme d… A tous les vents du ciel ou plutôt… Et d’un scandale tel, précisément…
Le dernier coup de vêpres a sonné… Entrons donc dans l’Église et couv… Il y a peu de monde encore. Qu’il… C’est bon par ces temps lourds, ça… On allume les six grands cierges,…
Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre
Mon ami, ma plus belle amitié, ma… —Les morts sont morts, douce leur… Laisse-moi te le dire en toute vér… Tu vins au temps marqué, tu parus… Tu parus sur ma vie et tu vins dan…
Petit Jésus qui souffrez déjà dan… Pour obéir au premier précepte de… Or, nous venons en ce jour saintem… Vous offrir les prémices aussi de… Pour obéir, nous autres, à votre o…
Je vois un groupe sur la mer. Quelle mer ? Celle de mes larmes. Mes yeux mouillés du vent amer Dans cette nuit d’ombre et d’alarm… Sont deux étoiles sur la mer.
Quand tu me racontes les frasques De ta chienne de vie aussi, Mes pleurs tombent gros, lourds, a… Que des fontaines dans des vasques… Et mes longs soupirs condolents
Mais Sa tête, Sa tête! Folle, unique tempôte D’injustice indignée, De mensonge en furie, Visions de tuerie
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
L’autel bas s’orne de hautes mauve… La chasuble blanche est toute en f… A travers les pâles vitraux jaunes Le soleil se répand comme un fleuv… On chante au graduel : Fi-li-a !
Toutes les amours de la terre Laissant au cœur du délétère Et de l’affreusement amer, Fraternelles et conjugales, Paternelles et filiales,