Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai p… Je ne te connais point et je t’aim… Je me chargerais mal de ton nom di… Et si j’ai quelque droit d’être en… C’est que, d’abord, et c’est qu’ai…
Mon jardin fut doux et léger Tant qu’il fut mon humble richesse… Mi-potager et mi-verger, Avec quelque fleur qui se dresse Couleur d’amour et d’allégresse,
Il fait nuit dans la chambre étroi… Vient de rentrer, couvert de neige… Depuis trois jours il n’a pas pron… La femme a peur et fait des signes… Un seul lit, un bahut disloqué, qu…
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
Chemise de femme, armure ad hoc Pour les chers combats et le gai c… Avec, si frais et que blancs et gr… Sortant tout nus, joyeux, les deux… Vêtement suprême,
Tu n’es pas du tout vertueuse, Je ne suis pas du tout jaloux ! C’est de se la couler heureuse Encor le moyen le plus doux. Vive l’amour et vivent nous !
Pourquoi triste, ô mon âme Triste jusqu’à la mort, Quand l’effort te réclame, Quand le suprême effort Est là qui te réclame ?
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Je fus mystique et je ne le suis p… (La femme m’aura repris tout entie… Non sans garder des respects absol… Pour l’idéal qu’il fallut renier. Mais la femme m’a repris tout enti…
—L’abbé divague.—Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. —Ce vieux vin de Chypre est exqui… Moins, Camargo, que votre nuque. —Ma flamme ...—Do, mi, sol, la, s…
Au bout d’un bas-côté de l’église… Contre le mur que vient baiser le… D’un long vitrail d’azur et d’or f… Le Crucifix se dresse, ineffablem… Sur sa croix peinte en vert aux ar…
Aussi, la créature était par trop… Qui donnait ses baisers comme un e… Indifférente à tout, hormis au pre… De la cire à moustache et de l’emp… Et j’ai ri, car je tiens la soluti…
Deux femmes des mieux m’ont apparu… Mon rêve était au bal, je vous dem… L’une d’entre elles maigre assez,… Un noir et ce regard mécréant qui… L’autre, brune au regard sournois…
Leurs jambes pour toutes montures, Pour tous biens l’or de leurs rega… Par le chemin des aventures Ils vont haillonneux et hagards. Le sage, indigné, les harangue ;
(En lui envoyant une pensée.) Au temps où vous m’aimiez (bien sû… Vous m’envoyâtes, fraîche éclose, Une chère petite rose, Frais emblème, message pur.