Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
L’amitié, mais entre homme et femm… Elle n’empêche rien, aussi bien de… Nécessaires, et sous les mieux séa… Abrite les secrets aimables qu’on… Nous mettrions chacun du nôtre, el…
Avec les yeux d’une tête de mort Que la lune encore décharne, Tout mon passé, disons tout mon re… Ricane à travers ma lucarne. Avec la voix d’un vieillard très c…
L’hiver a cessé : la lumière est t… Et danse, du sol au firmament clai… Il faut que le cœur le plus triste… À l’immense joie éparse dans l’air… Même ce Paris maussade et malade
Pour sauver son époux, Çavitri fit… De se tenir trois jours entiers, t… Debout, sans remuer jambes, buste… Rigide, ainsi que dit Vyaça, comm… Ni, Curya, tes rais cruels, ni la…
Un pavillon à claires-voies Abrite doucement nos joies Qu’éventent des rosiers amis ; L’odeur des roses, faible, grâce Au vent léger d’été qui passe,
Voici des fruits, des fleurs, des… Et puis voici mon coeur qui ne bat… Ne le déchirez pas avec vos deux m… Et qu’à vos yeux si beaux l’humble… J’arrive tout couvert encore de ro…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Mon Charles, autrefois mon frère,… Encore tel malgré toutes les lois… Te souvient-il d’un amoureux qui n… Et verse le secret de son cœur dan… Ah, de vivre ! Et te souvient-il…
En robe grise et verte avec des ru… Un jour de juin que j’étais soucie… Elle apparut souriante à mes yeux Qui l’admiraient sans redouter d’e… Elle alla, vint, revint, s’assit,…
Ce n’est pas Pierrot en herbe Non plus que Pierrot en gerbe, C’est Pierrot, Pierrot, Pierrot. Pierrot gamin, Pierrot gosse, Le cerneau hors de la cosse,
Malheureux ! Tous les dons, la gl… Ton enfance chrétienne, une mère q… La force et la santé comme le pain… Cet avenir enfin, décrit dans le t… De ce passé plus clair que le jeu…
Va ton chemin sans plus t’inquiéte… La route est droite et tu n’as qu’… Portant d’ailleurs le seul trésor… Et l’arme unique au cas d’une bata… La pauvreté d’esprit et Dieu pour…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est