Les Animaux et leurs hommes
"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Aveugle maladroit, ignorant et lég… Aujourd’hui pour oublier, Le mois prochain pour dessiner Les coins de rue, les allées à per… Je les imite pour m’étendre
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
Les représentants tout-puissants d… Des yeux graves nouveaux-nés Pour supprimer la lumière L’arc de tes seins tendu par un av… Qui se souvient de tes mains
La terre est bleue comme une orang… Jamais une erreur les mots ne ment… Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours
Ramassez sous les chênes les tache… suivez en barque les troupeaux des… contemplez avec des cailloux dans… divisez en dansant le claquement d… voyez les femmes, à quarante ans,…
Ses yeux sont des tours de lumière… Sous le front de sa nudité. À fleur de transparence Les retours de pensées Annulent les mots qui sont sourds.
Sourire aux visiteurs Qui sortent de leur cachette Quand elle sort elle dort. Chaque jour plus matinale Chaque saison plus nue
Ses yeux ont tout un ciel de larme… Ni ses paupières ni ses mains Ne sont une nuit suffisante Pour que la douleur s’y cache. Il ira demander
La nuit le froid la solitude On m’enferma soigneusement Mais les branches cherchaient leur… Autour de moi l’herbe trouva le ci… On verrouilla le ciel
Et la liane verte et bleue qui joi… Le vent à la grande figure Les épargne. Avalanche, à travers… La lumière, nuée d’insectes, vibre… Miracle dévêtu, émiettement, ruptu…