#ÉcrivainsFrançais
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
Bercée de chair frémissante pâture Sur les rives du sang qui déchiren… Le sang nocturne l’a chassée Échevelée la gorge prise aux abus… Victime abandonnée des ombres
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
Les filets des arbres ont pris bea… Natures, Les pattes des oiseaux ont pris le… À leurs os.
La terre est bleue comme une orang… Jamais une erreur les mots ne ment… Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
L’heure qui tremble au front du te… Un bel oiseau léger plus vif qu’un… Traîne sur un miroir un cadavre sa… Des boules de soleil adoucissent s… Et le vent de son vol affole la lu…
Si calme la peau grise éteinte cal… Faible de la nuit prise dans ses f… Elle n’a plus de la lumière que le… Amoureuse cela lui va bien d’être… Elle n’attend pas le printemps.
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine