"Exemples"
#ÉcrivainsFrançais
Les représentants tout-puissants d… Des yeux graves nouveaux-nés Pour supprimer la lumière L’arc de tes seins tendu par un av… Qui se souvient de tes mains
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
Mon amour pour avoir figuré mes dé… Mis tes lèvres au ciel de tes mots… Tes baisers dans la nuit vivante Et le sillage des tes bras autour… Comme une flamme en signe de conqu…
Dormir, la lune dans un œil et le… Un amour dans la bouche, un bel oi… Parée comme les champs, les bois,… Belle et parée comme le tour du mo… Puis à travers le paysage,
L’heure qui tremble au front du te… Un bel oiseau léger plus vif qu’un… Traîne sur un miroir un cadavre sa… Des boules de soleil adoucissent s… Et le vent de son vol affole la lu…
Songe aux souffrances taillées sou… Aux petits amateurs de rivières to… Où promenade pour noyade Nous irons sans plaisir Nous irons ramer
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
D’une seule caresse Je te fais briller de tout ton écl…
Qui a votre visage ? La bonne et la mauvaise La belle imaginable Gymnastique à l’infini Dépassant en mouvements
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,