(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…

(Sur la noblesse dépourvue de vert… La noblesse, Dangeau, n’est pas u… Quand, sous l’étroite loi d’une ve… Un homme issu d’un sang fécond en… Suit, comme toi, la trace où march…

De l’utilité des ennemis. Que tu sais bien, Racine, à l’aid… Emouvoir, étonner, ravir un specta… Jamais Iphigénie, en Aulide immol… N’a coûté tant de pleurs à la Grè…

Rare et fameux esprit, dont la fer… Ignore en écrivant le travail et l… Pour qui tient Apollon tous ses t… Et qui sais à quel coin se marquen… Dans les combats d’esprit savant m…

(Sur leur impatience à paraître.) J’ai beau vous arrêter, ma remontr… Allez, partez, mes Vers, dernier… C’est trop languir chez moi dans u… La prison vous déplaît, vous cherc…

(Sur sa comédie L’école des femme… En vain mille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage : Sa charmante naïveté

Quand, la dernière fois, dans le s… La troupe des neuf sœurs, par l’or… Lut l’Iliade et l’Odyssée ; Chacune à le louer se montrant emp… Apprenez un secret qu’ignore l’uni…

Les plaisirs de la campagne. Oui, Lamoignon, je fuis les chagr… Et contre eux la campagne est mon… Du lieu qui m’y retient veux-tu vo… C’est un petit village, ou plutôt…

Grand roi, cesse de vaincre, ou je… Tu sais bien que mon style est né… Mais mon esprit, contraint de la d… Sous ton règne étonnant ne veut pl… Tantôt, dans les ardeurs de ce zèl…

(Vers pour mettre en bas du portra… Ce greffier doux et pacifique De ses enfants au sang critique N’eut point le talent redouté : Mais, fameux par sa probité,

(Sur l’amour de Dieu.) Docte abbé, tu dis vrai ; l’homme,… En vain, sans aimer Dieu, croit s… Toutefois, n’en déplaise aux trans… Du fougueux moine auteur des troub…

(Sur le portrait du P. Bourdaloue… Du plus grand orateur dont la chai… M’envoyer le portrait, illustre pr… C’est me faire un présent qui vaut… J’ai connu Bourdaloue ; et dès me…

Dans Florence, jadis, vivait un m… Savant hâbleur, dit-on, et célèbre… Lui seul y fit longtemps la publiq… Là, le fils orphelin lui redemande… Ici, le frère pleure un frère empo…

Laborieux valet du plus commode ma… Qui pour te rendre heureux ici-bas… Antoine, gouverneur de mon jardin… Qui diriges chez moi l’if et le ch… Et sur mes espaliers, industrieux…

Soupirez jour et nuit sans manger… Ne songez qu’à souffrir ; Aimez, aimez vos maux, et mettez v… À n’en jamais guérir. Cependant nous rirons