Poésies inédites (1860)
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Des roses de Lormont la rose la p… Georgina, près des flots nous sour… L’orage, dans la nuit, la toucha d… Et l’Aurore passa triste, sans la… Pure comme une fleur, de sa fragil…
Viens, mon cher Olivier, j’ai deu… Ma mère l’a permis ; ils te rendro… Eh bien ! je n’ose plus. Mais, di… Ma mère l’a permis, regarde dans m… Voilà mes yeux baissés. Dieu ! qu…
Il a demandé l’heure ; oh ! le tri… Autrefois j’étais seule attentive… Qui peut avant le soir l’appeler a… Hélas ! pour me répondre, il est d… Je l’ai suivi des yeux pour rencon…
Je ne veux pas dormir. Ô ma chère… Quel sommeil aurait ta douceur ? L’ivresse qu’il accorde est souven… Et la tienne est réelle, ineffable… Quel calme ajouterait au calme que…
Oh ! que la nuit est lente ! De sa lueur tremblante, Elle attriste l’amour. J’entends gronder l’orage ; Il trouble mon courage.
Sur la musique de Garni. En vain l’aurore, Qui se colore, Annonce un jour Fait pour l’amour ;
Elle avait fui de mon âme offensée… Bien loin de moi je crus l’avoir c… Toute tremblante, un jour, elle ar… Sa douce image, et dans mon cœur r… Point n’eus le temps de me mettre…
Fierté, pardonne-moi ! Fierté, je t’ai trahie !... Une fois dans ma vie, Fierté, j’ai mieux aimé mon pauvre… Tue, ou pardonne-moi !
Tu t’en vas ? Reste encore : Je te perds pour longtemps ! Et tu vois que l’aurore Luit depuis peu d’instants. Tantôt sur le rivage
Il est deux Amitiés comme il est… L’une ressemble à l’imprudence ; Faite pour l’âge heureux dont elle… C’est une enfant qui rit toujours. Bruyante, naïve, légère,
Oui, vous avez un ange ; un jeune… Il pleure, car il aime... et vous… Il s’en plaint doucement dans le c… Quand elle sonne triste à ralentir… Voyez comme il vous donne et couve…
Un tout petit enfant s’en allait à… On avait dit : Allez !... il tâch… Mais son livre était lourd, il ne… Il pleure et suit des yeux une abe… « Abeille, lui dit-il, voulez-vous…
Message inattendu, cache-toi sur m… Cache-toi ! je n’ose te lire : Tu m’apportes l’espoir ; ne fût-il… Je te devrai du moins l’ombre de m… Prolonge dans mon sein ma tendre i…
Embellissez ma triste solitude, Portrait chéri, gage d’un pur amou… Charmez encor ma sombre inquiétude… Trompez mon cœur jusques à son ret… Si quelquefois, de mes lèvres trem…
Cache-moi ton regard plein d’âme e… Dont la langueur brûlante affaibli… De l’amour qu’il révèle il m’appre… Pour les infortunés son charme est… Lèves-tu sur mes yeux ta paupière…