Maya avait chaussée les mocassins volants .
Parcourant les chemins et les champs .
Et parée d écorces et de feuillages .
Pour se cacher d un fripon félon .. le page .
Elle adore courir les bois profonds et les forêts .
Traversant les rivières et les vallées .
Maya était sur le sentier du torchon .
Elle voit passer un noir fourgon .
Loin de la contrée du brouillard .
Elle regarde la lumière du phare .
Elle garde le médaillon de sa mère .
C’est une journée sombre .. près de la mer .
Pour un lendemain lumineux .
Pour parler au prince des Cieux .
Qui habite dans le joli manoir .. son logis .
Couverts avec les plus beaux habits .
Dorés .. entourés de douze laquais .
Toujours debout et bien coiffés .
La beauté est un joli trésor .
Qui vaut mieux que de l Or .
Le plaisir du poète Alain Lacheteau .
C’est de sucer le phallus d Apollo .
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