Le banquet des muses (1623)
#ÉcrivainsFrançais
Épigramme. Le bossu dit au boiteux, chancelan… Comme un bateau qu’on pourmeine (*… Ô que tu sais des nouvelles, galan… Toi qui toujours vas de coté et d’…
Margot, qui en riant se mordait le… Tant la bouche elle avait d’une én… À Robin, qui avait le nez grand à… Reprochait que son nez était un af… Puis fiez-vous, dit-elle, au prove…
Jeune Mars, à qui les alarmes Sont des plaisirs délicieux, Puissent tes belliqueuses armes Étonner la terre et les cieux ! Que la postérité ravie
Épigramme. Domp Jean faisait son testament, Abhorrant le monde et les vices ; Sa garce lui dit doucement Qu’il n’oublia point ses services.
Ces fendeurs de nasaux, ces Traso… Qui armés jusqu’aux dents menacent… Aux combats de Cypris ne sont que… L’adolescent Amour n’a rien de fu… C’est un conte de vieille, un mens…
Épigramme. Quels sorciers ont dansé sur ton c… Que le poil n’y croît point ? Aur… Réponse. Un fameux cabaret n’a que faire d’…
(Madam… Dieu ne plaise, Olympe, que je gr… Dessus ton corps comme un audacieu… Ne fut-ce pas dessus le mont Olym… Que les Titans firent la guerre a…
Épigramme. N’en déplaise à Ronsard, les této… À des boules ne sont comparés just… Car la boule ne sert que d’abattre… Mais un beau sein les fait redress…
xx… Un œil de chat huant, des cheveux… Une trogne rustique à prendre des… Un nez qui au mois d’août distille… Un rire sardonien à charmer les lu…
Épigramme. Ce castré si souvent discourt Des fortes passions d’amour Qu’il en a pris la caquesangue (*)… Mais il est heureux en ce point
Épigramme. Je n’aime point la dame en amour s… Puis qu’on perd sans regret ce qu’… Tels plaisirs sont plus tôt étouff… La femme et le cheval sont de même…
Sonnet. Furie aux crins retors, exécrable… Qui te fait tant vomir de poison c… Et troubler la beauté qui me donne… Des importuns discours de ta langu…
Épigramme. Alix a pleine main tenait Le manche à Thibaut, qui frétille… Thibaut, du cul carillonnait, Comme Alix tournait la cheville.
Épigramme. Quand je te caresse, Angélique, Tu dis que ma barbe te pique ; Aimes-tu tant le poil follet ? Baise le trou par où je pète,
Ici gît dans ce tombeau foireux Rud’En-Souppe le valeureux, Qui voyant la guerre entreprise Au pays, et qu’on le cherchait, Se cacha dessous la chemise