#ÉcrivainsFrançais
Sur la route de Oenain Une femme nue Que jamais homme n’eut Sur la route de
Moi je joue du piano disait l’un moi je joue du violon disait l’autre moi de la harpe moi du banjo
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
Ceux qui plantent en rêve des tessons de bouteille sur la grande muraille de Ceux qui mettent un loup sur leur visage quand ils mangent du mouton Ceux qui volent des œufs et qui n’osent...
Entre les dents d’un piège La patte d’un renard blanc Et du sang sur la neige Le sang du renard blanc Et des traces sur la neige
L’exposition est universelle La galerie des machines infernales… Est ouverte Et des sergents de ville d’eau de Vichy
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
La douleur, des fois c’est à vomir, trop à voi… mon cœur a mal à la tête et ma têt… des haut-le-cœur. Mais les amibes de nos amis sont n…
Moi aussi comme les peintres j’ai mes modèles Un jour et c’est déjà hier
Quand l’homme, en fin de querelle, a égrené tout son chapelet d’injures, il hausse les épaules pousse un grand soupir et dit : « Figure ! » Un autre jour, racontant ce qui s’est passé l...
Comme c’est beau ce qu’on peut voir comme ça à travers le sable à travers le ve… à travers les carreaux tenez regardez par exemple
Il a mis le café Dans la tasse Il a mis le lait Dans la tasse de café Il a mis le sucre
Le lézard de l’amour S’est enfui encore une fois Et m’a laissé sa queue entre les d… C’est bien fait J’avais voulu le garder pour moi.
Un homme avait un chien un chien qu’il appelait Amour l’homme lui donnait à manger le chien le léchait
Nos cheminées sont vides nos poches retournées ohé ohé ohé nos cheminées sont vides nos souliers sont percés