#ÉcrivainsFrançais
Sous le ciel bleu de Méthylène si grave était le chant des grives Et quand tous deux nous gravission… de l’escalier de la maison
Quand l’homme, en fin de querelle, a égrené tout son chapelet d’injures, il hausse les épaules pousse un grand soupir et dit : « Figure ! » Un autre jour, racontant ce qui s’est passé l...
Il est terrible le petit bruit de l’œuf dur cassé… il est terrible ce bruit quand il remue dans la mémoire de… elle est terrible aussi la tête de…
le grand rat de cave que chacun porte dans sa poitrine petits mensonges lumineux couleur de vérité lumineuse bien en face salamandre installée dans le front du penseur bois et charbons ...
« les trois chiens de la Maison Blanche habillés de rubans multicolores en l’honneur de Noël, chargés habituellement de délasser le Président Nixon des soucis de la politique ». mais di...
Couronné d’étincelles Un marchand de pierres à briquet Élève la voix le soir Dans les couloirs de la station Javel
Éléphant je pense souvent à toi quand je suis tout seul quand je suis avec les autres quand je me promène dans la campag…
Concomitamment la muture concraite… abstrète vous donnent les belles c… ton du mélomane distingué. Ils font d’abord la sourde oreille… Un peu plus tard
Oh la terrible et surprenante odeu… meurt c’est l’été et pourtant les… Edmond chef de famille chef de bur… dans son pavillon de chef-lieu de… Il faut laver son linge sale en fa…
C’est la fête à Saint-Jeannet et saute le bouchon Victor Hugo avait raison
À Paris autrefois, c’est-à-dire il y… La fête ça existait. La musique de carton des manèges à… Pezon, c’était beau, tendre et vio…
tournant et qu’on rate un chagrin d’homme sombre paysage choses déjà vues et qui reviennent en disant c’est pas pareil c’est beaucoup mieux orchestre sanglots fantômes à tête de cœur so...
Vous dormez sur vos deux oreilles Comme on dit Moi je me promène et je veille dan… Je vois des ombres j’entends des c… Drôles de cris
C’est un Breton qui revient au pays natal Après avoir fait plusieurs mauvais… Il se promène devant les fabriques… Douarnenez
Ils erraient ils ne savaient où passer leur soi… C’étaient de malheureux vivants à… Je suis passeur de mon métier trép… Pour eux le temps c’était de l’arg…