#ÉcrivainsFrançais
Quand le lionceau déjeune la lionne rajeunit Quand le feu réolame sa part la terre rougit Quand la mort lui parle de l’amour
tournant et qu’on rate un chagrin d’homme sombre paysage choses déjà vues et qui reviennent en disant c’est pas pareil c’est beaucoup mieux orchestre sanglots fantômes à tête de cœur so...
C’est pas seulement ma voix qui ch… C’est l’autre voix, une foule de v… Voix d’aujourd’hui ou d’autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées
le nez collé contre la vitrine d’un magasin de curiosités, un nain, curieux, regarde une femme debout au milieu du magasin complètement vide. Un incurieux passe sans s’arrêter puis gagn...
Le décor représente une maison, un… — Oh, j’ai perdu ma femme ! chante e… inconsolable, hilare et désolé, ne… —
J’ai appris très tard à aimer les… je le regrette un peu mais maintenant tout est arrangé on s’est compris ils ne s’occupent pas de moi
Tu sais que ma peinture ne veut rien de magistral ou d’important et que j’essaie de donner une vie plus réelle aux choses insignifiantes, pauvres, simples, oubliées et jetées-Plumes et ...
Et des travailleurs de la paix avec des gardiens de la mer Un hussard de la farce avec un dindon de la mort Un serpent à café avec un moulin à lunettes Un chasseur de corde avec un dans...
Traversez si le cœur vous en dit ou restez là plantés sur la plante de vos pieds La Psyché s’en balance si le cœur vous en tait Traversez la plage de sable et de tain traversez l’horair...
Des oiseaux jaune fou vêtus de noi… dans un ciel noir désert volaient Vert Vert
- Je suis heureux ! - De quel droit ? Et on le fusille du regard en atte…
Des milliers et des milliers d’ann… Ne sauraient suffire Pour dire La petite seconde d’éternité Où tu m’as embrassé
Je m’endors avec des oiseaux plein… Et je rêve d’un jardin Mais si tes yeux sont loin des mie… Je m’endors avec des larmes plein… Et mon rêve s’appelle : chagrin.
Une terre fertile Une lune bonne enfant Une mer hospitalière Un soleil souriant Au fil de l’eau
Le malheur avait mis les habits du… Ils étaient d’un beau rouge couleu… Mais son cœur à lui était gris Penché sur la margelle il me chantait l’amour