Chanson
#ÉcrivainsFrançais
Poulpe, oh, regarde-moi ! dit l’ho… Poulpe au regard de soi, l’homme-p… Le miroir est un aquarium où l’hom… L’aquarium est emporté par la gran… L’homme-pieuvre découvre avec terr…
Noyé dans les grandes eaux de la m… Qui suintent horriblement Le long des murs de sa chambre sor… Un mourant Livide abandonné et condamné
Éléphant je pense souvent à toi quand je suis tout seul quand je suis avec les autres quand je me promène dans la campag…
Debout devant le zinc Sur le coup de DIX heures Un grand plombier zingueur Habillé en dimanche et pourtant c’… Chante pour lui tout seul
Le malheur avait mis les habits du… Ils étaient d’un beau rouge couleu… Mais son cœur à lui était gris Penché sur la margelle il me chantait l’amour
C’est ma faute C’est ma faute Cest ma très grande faute d’orthog… Voilà comment j’écris Giraffe.
Il y a de grandes flaques de sang… où s’en va-t-il tout ce sang répan… est-ce la terre qui le boit et qui… drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...
Un homme entre chez une fleuriste et choisit des fleurs la fleuriste enveloppe les fleurs l’homme met la main à sa poche pour chercher l’argent
Dans ma maison vous viendrez D’ailleurs ce n’est pas ma maison Je ne sais pas à qui elle est Je suis entré comme ça un jour Il n’y avait personne
L’enfance dans le lointain de la jeunesse l’adolescent la méprise et ne veut… ce n’est plus moi dit-il c’est un petit qui ne sait pas ce…
Sève et sang lionnes et lianes fem… métaphores fauves anarchitecture v… le vent solaire secoue le silence… Folle la lune écarte les branches… nymphes et dryades
Ceux qui plantent en rêve des tessons de bouteille sur la grande muraille de Ceux qui mettent un loup sur leur visage quand ils mangent du mouton Ceux qui volent des œufs et qui n’osent...
Dans la plus fastueuse des misères mon père ma mère apprirent à vivre à cet enfant à vivre comme on rêve et jusqu’à c… naturellement
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
Il y avait de faibles femmes et puis des femmes faciles et des femmes fatales qui pleuraient hurlaient sanglotai… devant des hommes de paille