#ÉcrivainsFrançais
Le peintre, si on le connaît, et surtout si on l’aime peut vous cacher sa peinture comme l’arbre la forêt. Gérard Fromanger est tout jeune et l’était davantage quand je l’ai rencontré. ...
À Paris autrefois, c’est-à-dire il y… La fête ça existait. La musique de carton des manèges à… Pezon, c’était beau, tendre et vio…
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les Et sitôt qu’il est seul Travaille arbitrairement S’érigeant pour soi-même Et soi-disant généreusement en l’honneur des travailleu...
Des oiseaux jaune fou vêtus de noi… dans un ciel noir désert volaient Vert Vert
Louis XIV qu’on appelait aussi l… était souvent assis sur une chaise… vers la fin de son règne une nuit où il faisait très sombre le Roi Soleil se leva de son lit
J’attends le doux veuvage j’attend… Il a mis en veilleuse ma lampe d’… J’attends le doux veuvage j’attend… En entrant au bordel il a retiré s… une femme à ma ressemblance
Aujourd’hui, de même que l’aromancier, comme la seiche, déverse méthodiquement son encre pour se dissimuler, le peintre tachiste jette sur la toile, avec une désinvolture frénétiquement...
A l’enterrement d’une feuille mort… Deux escargots s’en vont Ils ont la coquille noire Du crêpe autour des cornes Ils s’en vont dans le soir
Moi aussi comme les peintres j’ai mes modèles Un jour et c’est déjà hier
Tu es là en face de moi dans la lumière de l’amour Et moi je suis là
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Mic-mac Tac-tic Tic-tac tic-tac tic-tac Votre temps est compté mesuré pesé amoindri
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le s… L’oiseau si tendre l’oiseau moqueu… L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain se cogne
Pille d’acier je n’aimais personne… Je n’aimais personne sauf celui qu… Mon amant mon amant celui qui m’at… Maintenant tout a changé est-ce lu… m’aimer
Autrefois le grand homme, lui, n’avait jamais une minute à lui, fastueux et généreux, il donnait tout son temps à l’Histoire mais sans songer à l’indifférence historique des hommes de l...