Voyez le ciel, la terre et toute l… C’est le livre de Dieu, c’est sa… L’homme le lit sans cesse et ne l’… Splendeur de la virgule, immensité… Comètes et soleils, lettres du feu…

Je ne veux plus lire de lettre, Sauf les lettres que le facteur Sera chargé de me remettre, Comme après tout on est le maître De lire tel ou tel auteur.

Je vous fus présenté Madame, dans… De marbre frais et sombre où vous… Au bruit de ces jets d’eau monoton… Damasquinés ; l’or blanc cerclait… Assise à terre, à la manière orien…

Depuis longtemps, je voudrais fair… Son portrait, en pied, suis-moi bi… Quand elle prend son air sévère, Elle ne bouge et ne dit rien. Ne croyez pas qu’Elle ne rie

Sonnez, sonnez haut sur la joue, Baisers de la franche amitié, Comme un fils de neuf ans qui joue… Petit tapageur sans pitié. Baiser du respect qui s’imprime

Aimer la Vérité, C’est aimer dans son cœur une Naï… Le peintre la demande aux rires de… * Sans la beauté de Dieu, le cœur d…

Je connais, Madame, un bonhomme Qui serait bien mal à la Cour. Je ne sais comment il se nomme, Sa femme n’est pas laide, en somme… Non..., elle est très digne d’amou…

La Rochefoucauld dit, Madame, Qu’on ne doit pas parler de soi, Ni ?..ni ?..de ?..de ?..sa ?.. sa… Alors, ma conduite est infâme, Voyez, je ne fais que ça, moi.

Dieu sait bien que la femme est ma… Mais l’époux généreux, chez l’épou… S’ils sont deux bons chrétiens en… Libre, vit dans la paix, loin des… Simple, comme un enfant qui partag…

Le Baiser de ton rêve Est celui de l’Amour ! Le jour, le jour se lève, Clairons, voici le jour ! Le Baiser de mon rêve

L’être que j’adore en ce monde, Eût-il les pieds noirs et des poux… C’est le mendiant, il m’inonde Le cœur d’une extase profonde ; Je lui baiserais les genoux.

Douce Vierge Marie, humble mère d… Que tout le ciel contemple, Vous qui fûtes un lys debout dans… Sur les marches du temple ; Épouse agenouillée à qui l’ange pa…

Quelqu’un qui jamais ne se trompe, M’appelle juif...Moi, juif ? Pour… Je suis chrétien, sans que je romp… Le pain bénit à son de trompe, Bien qu’en mon trou...je reste coi…

Je ne crains pas les coups du sort… Je ne crains rien, ni les supplice… Ni la dent du serpent qui mord, Ni le poison dans les calices, Ni les voleurs qui fuient le jour,

Madame, on m’a dit l’autre jour Que j’imitais... qui donc ? devine… Que j’imitais Musset : le tour N’en est pas nouveau, j’imagine. Musset a répondu pour nous :