Ramène moi une fleur, ou enterre toi dessous,
Balaie moi la terreur, ou allez au Pérou,
Passe moi l aspirateur, que je t aspire tes doutes,
Levé par la lueur, à sourire tous les jours,
Couchés par la torpeur, se confondre dans le flou,
Allongé sans frayeur, à en vouloir un bout.
Réveillé par erreur, à les massacrer tous.
Indiquez moi un monde, en forme de Pentagone.
Ou à chaque seconde, un fou rire explose,
Partant d’une de ses branches, pour repiquer au centre,
Et inonder la foule, de doses d endorphine.
Pour cela qu’une route, celle allant jusqu’à Nice,
Nous serions au soleil, la balade des anglais,
Derrière les anarchiste, les poussant dans la mer,
Et marcher tous sourire, sans un brin de regret.
A moi la présidence, pour dire ce que je pense,
A ces dégénérés, allant dans l mauvais sens,
Le soleil est levé, a s en mettre plein la panse,
La vie à consommer, n est pas un stupéfiant,
Elle n est que peu taxée, juste de bienveillance,
Nul n est a réserver, dominé par l instant,
Fini donc t as journée, pour dévisser une bière,
Prend le temps de rentrer, claque la porte derrière,
Met toi donc à rêver, mais n’ oubli pas les leffs
Suspendu aux étoiles, balançoire dans le vide,
Au dessus des tulipes, celles de tout un pays,
Oubli t as peur du noir, dans ces grandes galeries
En vue cette eau turquoise, bordé de paradis,
Rentre dans ton manoir, perché sur la colline,
Surplombant le village, à avoir le vertige, de plaisir et de kiff, au niveau des élites,
Sur la dune du Pilat, installe ta salle de gym,
Si tu t en sens capable, d‘oublier de souffrir.